Obésité/surpoids et médicaments
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Popeye2new
Messages: 208 Member
Il y a quelques jours, j'ai écouté l'émission "Affaires Sensibles" sur le Médiator, "Fiasco sanitaire et faillite d'un système" (qu'on peut facilement retrouver en podcast sur France Inter). Où comment se faire un max de pognon en masquant sciemment les effets mortels d'un faux "antidiabétique" mais véritable poison...
Ça m'a replongé dans ma propre expérience, car il y a un peu plus de 10 ans j'ai pris du Médiator (prescrit par une diabétologue que je consultais pour mon taux faramineux de triglycérides, mon surpoids et mon insatiable addiction au sucre - le tout étant lié, bien sûr). Fort heureusement pour moi, je ne supportais pas bien ce que je ne savais pas encore être une vraie saloperie - mais que certains soupçonnaient déjà fortement d'effets délétères sur la santé. Je n'en ai donc pris que quelques semaines (trop peu pour être touché... enfin, j'espère).
Cette émission m'a appris que le médoc était à la base présenté comme un "antidiabétique" (d'où sa présence dans la panoplie de ma doctoresse), mais aussi prescrit aux personnes en surpoids pour ses effets "coupe faim" (car la molécule, à la base aurait dû être classée comme... anorexigène !). Dans mon cas, la doc m'a vanté ses "effets miraculeux" sur les addictions sucrées
L'émission m'a aussi appris que c'était le même sinistre laboratoire Servier qui était à l'origine du tristement célèbre Isoméride, lui aussi responsable de valvulopathies... lequel Isoméride m'avait AUSSI été prescrit dans les années 90, toujours pour les mêmes motifs ! (surpoids / addictions sucrées). Autre coup de bol pour moi, j'avais également mal supporté ce poison... Logique, sa formule était très proche du médiator.
Donc, par deux fois, les labos Servier ont pu, presque impunément, foutre en l'air des gens pour s'en mettre plein les poches. Et par deux fois, quasi miraculeusement, j'ai échappé d'un cheveu au désastre...
Merci à ma bonne étoile, et merde à la faculté de médecine !
Plus récemment, j'ai appris qu'un médicament contre les brulures d'estomac, que cette fois j'ai pris pendant des années, l'Oméprazol, était plus dangereux que bénéfique !
Et oui, pendant des années, en plus de mon obésité, de mes addictions sucrées, de mes excès de triglycérides, j'ai été victime de très fréquents (et douloureux) reflux acides... soignés à coup d'inhibiteurs de pompes à protons, qui d'une part ne fonctionnaient PAS DU TOUT, et d'autre part étaient en train de fiche en l'air d'autres parties de mon anatomie.
En mars 2015, inquiet de douleurs à la poitrine, je suis finalement allé faire un bilan cardiaque. Résultats pas très bon pour moi (haut risque cardiaque), et dans la foulée prescription de Statines... à vie ! Les effets des Statines, je les ai découvert sur internet, avant qu'elles ne m'esquintent un peu plus ; j'ai donc tout balancé et arrêté de moi-même mon traitement. A la place, je me suis mis au sport et entrepris une perte lente.
Si je fais le compte, ça commence à faire vraiment vraiment beaucoup de produits nocifs (voire mortels) pour des bénéfices nuls ou quasi (pour bibi, pas pour l'industrie pharmaceutique).
Heureusement pour moi, l'histoire se termine bien. Depuis près de 7 mois, je n'ai plus eu de reflux gastriques (ni de crises d'asthmes, alors qu'elles étaient quotidiennes), mon taux de triglycérides est redevenu normal pour la première fois depuis 15 ans, et je n'ai jamais été autant en forme, y compris d'un point de vue cardiaque.
Et ce sans prendre aucun médoc. Juste par des changements simples dans mes habitudes de vie et mes choix alimentaires. Ça ne m'a rien coûté. Ah si, j'oubliais ! 16 kilos de perdus !
Et vous, est-ce que vous avez des parcours similaires, des améliorations aussi spectaculaires que soudaines de votre santé après un changement de mode de vie et l'abandon de certains médocs ?
Ça m'a replongé dans ma propre expérience, car il y a un peu plus de 10 ans j'ai pris du Médiator (prescrit par une diabétologue que je consultais pour mon taux faramineux de triglycérides, mon surpoids et mon insatiable addiction au sucre - le tout étant lié, bien sûr). Fort heureusement pour moi, je ne supportais pas bien ce que je ne savais pas encore être une vraie saloperie - mais que certains soupçonnaient déjà fortement d'effets délétères sur la santé. Je n'en ai donc pris que quelques semaines (trop peu pour être touché... enfin, j'espère).
Cette émission m'a appris que le médoc était à la base présenté comme un "antidiabétique" (d'où sa présence dans la panoplie de ma doctoresse), mais aussi prescrit aux personnes en surpoids pour ses effets "coupe faim" (car la molécule, à la base aurait dû être classée comme... anorexigène !). Dans mon cas, la doc m'a vanté ses "effets miraculeux" sur les addictions sucrées
L'émission m'a aussi appris que c'était le même sinistre laboratoire Servier qui était à l'origine du tristement célèbre Isoméride, lui aussi responsable de valvulopathies... lequel Isoméride m'avait AUSSI été prescrit dans les années 90, toujours pour les mêmes motifs ! (surpoids / addictions sucrées). Autre coup de bol pour moi, j'avais également mal supporté ce poison... Logique, sa formule était très proche du médiator.
Donc, par deux fois, les labos Servier ont pu, presque impunément, foutre en l'air des gens pour s'en mettre plein les poches. Et par deux fois, quasi miraculeusement, j'ai échappé d'un cheveu au désastre...
Merci à ma bonne étoile, et merde à la faculté de médecine !
Plus récemment, j'ai appris qu'un médicament contre les brulures d'estomac, que cette fois j'ai pris pendant des années, l'Oméprazol, était plus dangereux que bénéfique !
Et oui, pendant des années, en plus de mon obésité, de mes addictions sucrées, de mes excès de triglycérides, j'ai été victime de très fréquents (et douloureux) reflux acides... soignés à coup d'inhibiteurs de pompes à protons, qui d'une part ne fonctionnaient PAS DU TOUT, et d'autre part étaient en train de fiche en l'air d'autres parties de mon anatomie.
En mars 2015, inquiet de douleurs à la poitrine, je suis finalement allé faire un bilan cardiaque. Résultats pas très bon pour moi (haut risque cardiaque), et dans la foulée prescription de Statines... à vie ! Les effets des Statines, je les ai découvert sur internet, avant qu'elles ne m'esquintent un peu plus ; j'ai donc tout balancé et arrêté de moi-même mon traitement. A la place, je me suis mis au sport et entrepris une perte lente.
Si je fais le compte, ça commence à faire vraiment vraiment beaucoup de produits nocifs (voire mortels) pour des bénéfices nuls ou quasi (pour bibi, pas pour l'industrie pharmaceutique).
Heureusement pour moi, l'histoire se termine bien. Depuis près de 7 mois, je n'ai plus eu de reflux gastriques (ni de crises d'asthmes, alors qu'elles étaient quotidiennes), mon taux de triglycérides est redevenu normal pour la première fois depuis 15 ans, et je n'ai jamais été autant en forme, y compris d'un point de vue cardiaque.
Et ce sans prendre aucun médoc. Juste par des changements simples dans mes habitudes de vie et mes choix alimentaires. Ça ne m'a rien coûté. Ah si, j'oubliais ! 16 kilos de perdus !
Et vous, est-ce que vous avez des parcours similaires, des améliorations aussi spectaculaires que soudaines de votre santé après un changement de mode de vie et l'abandon de certains médocs ?
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Même expérience. Il y a quelques années, j'avais raconté à un endocrinologue que je n'arrivais absolument pas à perdre de poids, quoi que je fasse. Il m'a prescrit du mediator. Heureusement, moi non plus je ne l'ai pas supporté, et j'ai dû arrêter au bout de quelques jours parce qu'il me donnait des nausées. Mon mari a eu la même expérience avec un médic dont j'ai oublié le nom, qui lui avait été prescrit pour son diabète, ainsi que pour son excès de poids. Il a fondu comme la neige au soleil, et pourquoi ? ça lui donnait de telles nausées, il se sentait si mal, qu'il n'arrivait plus à manger du tout ! Il a jeté l'éponge au bout de 2-3 semaines.
On m'a prescrit également des statines, qui au bout d'un certain temps ont commencé à provoquer des crampes vraiment affreuses toutes les nuits. Comme par ailleurs j'avais aussi découvert beaucoup de notions nouvelles sur le net, je l'ai arrêté sans demander l'avis de personne, et mon médecin est persuadée que je le prends toujours. Mais là, le succès a été mitigé: bien que j'aie perdu un peu de poids, le cholestérol est plus élevé que jamais. Mais comme le "bon" cholestérol est également très élevé, j'ai décidé de ne pas m'en préoccuper, il fallait choisir entre un risque et l'autre, et j'ai choisi.
Donc parcours similaire de rejets de médicaments qui présentaient plus d'inconvénients que d'avantage, mais chez moi les améliorations sont modestes au mieux : le sucre a un peu baissé et les triglycérides ont un peu baissé, pas du tout de façon spectaculaire. Mais je me sens bien.
Pour mon mari ç'a été beaucoup plus spectaculaire, avec juste 2 ou 3 jeûne intermittents d'un repas par semaine, rien de drastique, et forte baisse mais non élimination des féculents, il a perdu 11kg et a pu renoncer à 4 médicaments sur 5. C'est ça l'égalité des sexes. Ils me font rigoler avec la parité !!0 -
Bonjour,
j'ai 37 ans et je prends tous les jours un comprimé contre le cholestérol (je fais de l'hypercholestérolémie familiale donc même en faisant un régime drastique je ne le ferai pas baisser) moi aussi je ne voulais pas prendre de médoc je me disais je suis jeune j'ai le temps c'est pas grave, jusqu'au jour ou j'ai fait une prise de sang et mon taux était rendu à presque 3.60 g et là mon médecin m'a poussé une gueulante en me disant que si je voulais mourir avant 40 ans et laisser mes enfants jeunes encore sans leur maman. Ce que je faisais était un pur suicide. Maintenant je prends mon comprimé tous les jours en 3 mois j'ai retrouvé une taux de mauvais cholestérol complétement dans la normal.
Depuis 1 an je suis sous climaston car je suis ménopausée j'ai pris du coup 10 kilos en 6 mois la gyneco m'a encouragé en me disant qu'il fallait que j'arrive à maîtriser ce poids qui augmentait je mangeais énormément c'était une catastrophe. Maigrir est beaucoup plus dur aujourd'hui mais je vais tout faire pour y arriver.0 -
www.santenatureinnovation.com/que-faire-si-votre-cholesterol-est-trop-haut0
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Merci Mamie Tamar, je suis allée lire le lien que tu as mis, je suis d'accord avec celui-ci sauf que dans mon cas je suis obligée de prendre des statines comme dit dans l'article
"Les seules personnes qui peuvent tirer un avantage pour leur santé des statines sont celles qui souffrent d’une hypercholestérolémie familiale, une maladie très rare qui donne un taux très élevé de cholestérol quelle que soit l’alimentation et le mode de vie."
Pour en savoir plus :
https://www.santenatureinnovation.com/que-faire-si-votre-cholesterol-est-trop-haut/#0 -
Personnellement quand j'étais en surcharge pondérale et que j'étais résistante à l'insuline et que j'avais des triglycérides élevés, ma MT m'a prescrit, dans l’ordre :
- Isoméride dont je n'ai pris que 2-3 gélules. Ca m'a donné des palpitations donc j'ai arrêté tout de suite.
Ma MT m'a dit que c'est impossible, elle même en prenait sans discontinuer depuis +1 an
- Médiator que je n'ai jamais touché. Je ne sais pas pourquoi, ce médicament me faisait peur, j'avais un mauvais pressentiment. Je me rappelle encore ces boîtes blanc-bleu marine me narguant pendant longtemps dans mon placard.
Ma doctoresse m'a définitivement classée hypocondriaque quand je lui en avais parlé.
Concernant le cholestérol, CA FAIT DEJA 10 ANS que la profession médicale est au courant qu'il n'est pas vraiment dangereux. Mais de là a ne plus prescrire des statines ? Ce serait difficile, car les médecins n'auraient plus le droit à leur "petits cadeaux"
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Bonjour,
j'ai 37 ans et je prends tous les jours un comprimé contre le cholestérol (je fais de l'hypercholestérolémie familiale donc même en faisant un régime drastique je ne le ferai pas baisser) moi aussi je ne voulais pas prendre de médoc je me disais je suis jeune j'ai le temps c'est pas grave, jusqu'au jour ou j'ai fait une prise de sang et mon taux était rendu à presque 3.60 g et là mon médecin m'a poussé une gueulante en me disant que si je voulais mourir avant 40 ans et laisser mes enfants jeunes encore sans leur maman. Ce que je faisais était un pur suicide. Maintenant je prends mon comprimé tous les jours en 3 mois j'ai retrouvé une taux de mauvais cholestérol complétement dans la normal.
Depuis 1 an je suis sous climaston car je suis ménopausée j'ai pris du coup 10 kilos en 6 mois la gyneco m'a encouragé en me disant qu'il fallait que j'arrive à maîtriser ce poids qui augmentait je mangeais énormément c'était une catastrophe. Maigrir est beaucoup plus dur aujourd'hui mais je vais tout faire pour y arriver.
Pas cool, tout ça, d'autant que tu n'es pas bien "vieille " et surtout que tu n'as pas vraiment le choix... J'avais vu un reportage sur les personnes atteintes de cette hypercholestérolémie familiale, qui effectivement demande une sérieuse prise en charge.
Mais pour la grande majorité des gens, un changement de mode de vie serait trés nettement plus efficace qu'en passer par des médocs qui nous détraquent !
@MamieTamar , pas de chance pour l'inégalité des sexes... C'est pas sympa pour toi que ça ne marche pas aussi bien que pour ton mari.
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effectivement popeye2new pas cool du tout heureusement j'ai eu mes enfants pas très tard parce que maintenant ça serait mort.
il y a 6 ans après ma deuxième grossesse j'avais déjà fait un rééquilibrage alimentaire et j'avais perdu plus de 15 kilos et mon cholestérol n'avait point baisser voir même augmenter donc le doc avait commencer à me parler de prendre des statines pour le stopper.0 -
Je travaille dans ce milieu, et je voudrais vous expliquer quelque chose au sujet des médicaments que peut-être vous ne connaissez pas. Les laboratoires mettent au point des traitements, avant que ces médicaments arrivent sur le marché ils passent par une batterie de tests, puis il y a les essais cliniques, puis il y a les études faites auprès des patients qui soit on fait l'essai clinique, soit prennent un autre traitement déjà sur le marché. Ensuite il y a bien sûr l'autorisation de mise sur le marché qui est donnée ou refusée en fonction des essais effectués.
A toutes les étapes on demande à chaque intervenant de déclarer les effets indésirables et ça c'est imposé à tous, ça va du médecin qui prescrit ce traitement, à celui qui le renouvelle, comme au pharmacien qui le délivre ou encore les personnes qui s'occupent d'interroger les patients lors des études. Pour qu'ils puissent déclarer ces effets indésirables il faut bien sûr qu'ils en aient connaissance, le dossier qui leur est demandé de remplir est souvent lourd et long et il arrivent que certains intervenants préfèrent ignorer ces EI pour ne pas se compliquer la vie (pourtant c'est une obligation !).
Pour conclure, en vous lisant je me dis que vous devriez à chaque fois que vous prenez un médicament et que vous constatez un effet indésirable quel qu'il soit parlez en à votre médecin, c'est vraiment très important.0 -
"Les seules personnes qui peuvent tirer un avantage pour leur santé des statines sont celles qui souffrent d’une hypercholestérolémie familiale, une maladie très rare qui donne un taux très élevé de cholestérol quelle que soit l’alimentation et le mode de vie."
Par "hypercholestérolémie familiale", est-ce que tu entends simplement un niveau élevé de cholestérol, tendance qui se transmet de parent à enfant ? Parce que dans ma famille c'était comme ça, mon grand-père avait beaucoup de cholestérol mais à l'époque on s'en fichait, ma mère a hérité de ça, mais bien qu'étant médecin elle-même, elle a toujours manifesté le plus grand mépris pour les médicaments de façon générale (sauf bien entendu dans les cas aigus où ça s'impose vraiment), et de toutes façons on n'avait pas encore découvert les statines à son époque. ça n'a pas empêché mon grand-père de vivre jusqu'à 94 ans et ma mère jusqu'à 97 ans. Mon frère et moi avons hérité la même tendance, mais pas le même caractère... lui ne jure que par les statines ! Et soit dit en passant, bien que plus jeune, est malheureusement en beaucoup plus mauvais état que moi, en relation directe avec son mode de vie très différent.
C'est ça que tu voulais dire Céline, ou il s'agit d'autre chose ?0 -
Mon mari, il y a un an de cela, a été diagnostiqué diabétique. Son taux était tellement haut que la diabétologue a voulu l hospitaliser. Après le rendez vous, où il a reçu tout un cours sur une alimentation équilibrée, le kit pour se piquer plusieurs fois par jour afin de vérifier son taux de sucre et une ordonnance avec 2 médicaments, on nous a laissé rentrer à condition de bien suivre tout le protocole. Changement drastique.
Au fur et à mesure que mon mari perdait du poids, un médicament a été supprimé, puis l'autre diminué, jusqu'à être supprimé lui aussi. Après quasi 30 kilos de perdus ET du sport régulier (CAP), son médecin a conclue que son diabète était dû à son surpoids. Aujourd hui, il a encore qques kilos en trop mais plus de signes de diabète.
Heureusement que mon mari a fait cette prise de sang à ce moment là, il aurait sans doute eu de graves complications...
Cette expérience m a aussi fait réaliser que je devais moi aussi perdre du poids. Pour l instant, je n ai pas de problèmes de santé ( si, pas assez de bon cholestérol...) mais avec le poids que j ai, ça me pend au nez... Ayant des enfants encore petits, je suis encore plus déterminée.0 -
Mamie Tamar j'ai repris ces lignes du lien vers lequel tu m'avais renvoyé qui est d'ailleurs très interessant et qui dit bien qu'effectivement les statines ne devraient être prises que dans certains cas dont le mien
Mon père fait de cholestérol il montait à plus de 4g je me rappelle enfant qu'il ne mangeait que des haricots verts natures avec de la viande grillée ou du poisson sans que son cholestérol ne baisse. Pour sa famille je ne sais pas c'est un enfant de la DDASS il a été abandonné à l'âge de 2 ans par sa mère.
Peut-être que les statines ne sont pas bonnes pour notre santé mais je ne veux tellement pas laisser mes enfants sans leur maman que je préfère mettre toutes les chances de mon côté comme prendre des statines et perdre du poids afin de gagner une meilleure condition physique.
C'est un débat qui dure depuis plusieurs années et chacun à son avis et fait comme il peut, seul le temps pourra nous dire qui a raison ou tord. C'est pas simple tout ça.
Tout comme mon traitement pour la ménopause, on m'a dit que je ne devrais pas prendre de traitement mais je n'en pouvais plus des bouffées de chaleur et les insomnies qui me plongeaient de plus en plus dans la déprime, alors je préfère le prendre et pouvoir vivre normalement.0 -
@thel67 : super pour ton mari ! Voilà qui est encourageant et corrobore le fait que les médocs ne suffisent pas en eux-même à palier les causes biologiques de ces problèmes métaboliques. Il est nettement plus censé de commencer par faire soi-même des efforts pour supprimer ces causes (quand elles ne sont pas génétiques, comme pour @celyn0807 , bien sûr).
@lead06 : mon propos n'est pas de dénoncer aveuglément les médocs, certains sont bons et utiles, mais de pointer du doigt les dérives inacceptables des big pharma (pour protéger leurs profits et contenter leurs actionnaires), dérives dont NOUS sommes les victimes. Et ce trop plein de médocs inutiles et dangereux que personnes ne devraient prendre, ou que beaucoup pourraient éviter en étant éduqués sur l'amélioration de leur mode de vie et de leurs choix alimentaires. Mais là aussi, il faut un vrai déclic pour changer... Tellement plus facile de s'en remettre à une ordonnance !
Mon toubib est époustouflé par mes résultats. En à peine 3 mois, triglycérides et cholestérol étaient devenus "normaux" sans aucun médocs, tout en me faisant plaisir à table ! Une nourriture saine et de l'exercice valent souvent toutes les pilules du monde.0 -
Oui Popeye, je suis d'accord avec ce que tu dis au sujet des labos et des profits qu'ils font, ce que je veux pointer du doigt c'est le fait de ne pas dire au prescripteur que le médicament en question a donné tel ou tel effet et de juste laisser tomber le traitement. IL FAUT IMPERATIVEMENT DIRE CE QUI NE VA PAS, ne pas avoir peur de le dire car c'est très important pour vous bien sûr mais pour d'autres personnes qui pourraient prendre ledit médoc les yeux fermés.
Je suis à votre disposition par mp si vous voulez que je me charge de prévenir des effets secondaires rencontrés suite à la prise de tel ou tel médicament.
J'ajoute que je ne défends absolument pas les laboratoires Servier qui eux connaissaient visiblement les effets du Médiator par exemple et qui ne l'ont pas assez testé et mis sur le marché malgré tout, je dénonce aussi les membres de la HAS qui ont fermé les yeux....Bref quand on voit Cahuzac et l'argent qu'il a encaissé grâce aux labos...Enfin on est pas là pour parler politique non plus...0 -
Tout comme mon traitement pour la ménopause, on m'a dit que je ne devrais pas prendre de traitement mais je n'en pouvais plus des bouffées de chaleur et les insomnies qui me plongeaient de plus en plus dans la déprime, alors je préfère le prendre et pouvoir vivre normalement.
Quant au traitement pour la ménopause, je ne peux que t'approuver. J'y suis moi-même depuis plus de 20 ans, et ça m'a changé la vie pour le mieux. Quand il est très proche des hormones naturelles (comme en France, toutes les alertes provenant des Etats-Unis où ça n'est pas le cas) et bien adapté, il n'y a vraiment rien de tel. Mon gynéco estime qu'à son avis, c'est pour tout ce qui reste de vie, que ce soit peu ou beaucoup comme chez toi, sous surveillance constante bien entendu.
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