Ma réussite à moi: mon premier semi marathon, sous un soleil de plomb
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cocoricotte
Messages: 22 Member
Hello les fitness potes. Je vais vous raconter un peu ma journée de dimanche dernier. J'ai
tenu le pari fou de terminer un semi marathon. Malgré mes kilos en trop et mon grand (trop grand) manque de confiance en moi. C'est ma grande réussite du moment!
La baie de Saint Jean de Luz est bondée de coureurs, les organisateurs annoncent qu’il y a 2500 coureurs, et ils ont du refuser près de 1000 inscriptions, faute de places.
Bizarrement, je ne suis pas stressée.
Par contre, je n’ai aucune idée quant à ma capacité à courir une telle distance. Oui car il faut préciser que j’ai débuté la course à pied en avril 2013. J’ai fait ma toute première course en juin 2013 (un 5km), mon premier 10km en décembre 2013 et je n’ai JAMAIS fait de course d’une distance plus longue.
Parcourir ces 21.1km, ça me semble fou, impensable, surtout avec 10kg de trop sur les fesses!
Alors oui, j’ai fait une préparation, mais je ne cours JAMAIS quand il fait plus de 25 degrès (appelez moi, Vampirella, je déteste le soleil ; et il me le rend bien).
Donc après une pause l’été 2014 pour cause de « beau temps », j’ai entrepris cette préparation avec la ferme intention de FINIR ce semi marathon. Ne parlons pas de chrono, ce n’était pas l’objectif.
Mais revenons sur la plage de Saint Jean de Luz. Il fait beau, très beau même. Et il y a beaucoup de monde.
Evidemment je commence à me comparer aux autres coureuses, bien plus sveltes que moi. Ca me met un peu mal à l’aise, j’avoue.
Avec chéri on décide de s’échauffer 10min avant le départ, on se cale dans la masse de coureurs, plutôt au fond du peloton et c’est parti ! Chéri m'accompagne dans mon pari fou, avec un seul rôle: me supporter (à tous les sens du terme).
11h00, le top départ est donné, et il nous faudra près de 2minutes pour passer les bornes de déclenchement de nos puces électroniques.
Les 5 premiers kilomètres se passent assez bien, mais le soleil commence déjà à m’insupporter. J’ai chaud, froid, j’ai la chair de poule et je commence à souffler. Déjà je me dis ! Et dire que je n’ai même pas fait un quart du chemin…
Cela dit, le paysage est fantastique, nous courons sur la corniche reliant Saint Jean de Luz a Hendaye ; a droite l’océan, à gauche les paysages verdoyants de la côte basque.
Arrivée au 8eme kilomètre, une côte, encore. C’est la cinquième, et j’ai le moral qui commence fortement à baisser.
Chéri me rassure, me dit qu’après celle là, c’est que du plat jusqu’à la fin, promis!Mais ce soleil, ce put*** de soleil qui me tape sur la joue gauche, je le déteste. Je me surprends à penser que ça aurait été mieux qu’il pleuve…
A ce niveau de la course, jambes ok, moral: dans les chaussettes.
Je commence la complainte du coureur au bout du rouleau « Chéri j’y arriverai pas », « J’arrete », « J’ai eu trop d’ambition », « La course c’est pas pour moi, je suis trop grosse »…. 40min de plaintes incessantes.
Chéri, évidemment, a réponse à tout, trouve une solution à tous mes faux soucis et mes vraies excuses. Je commence à regretter de lui avoir demandé de me soutenir pour mon premier semi ! J’ai un peu envie de lui arracher la langue pour qu’il arrête de parler ! Je n’arrive même pas à lui répondre. La seule chose que je suis capable de dire est « je suis désolée ». Lui, il est frais comme un gardon, il a mal nulle part, et sa peau hispanique est résistante aux UV, contrairement à ma peau de vampire qui commence à brûler.
Il me rabat les oreilles qu’il n’est pas question que je m’arrête avant le km10, car j’ai déjà fait des 10km et que celui là n’est pas plus difficile qu’un autre… mouais, pas faux, sauf que dans ce cas de figure, j’ai 11 autres kilomètres à m’enquiller après ces 10 là… non mais vraiment c’est un sport de grand malade quand même… puis il fait chaud. Trop chaud.
Après un grand passage à vide du 8eme au 14eme kilomètre, à me plaindre toutes les secondes et à chercher désespérément la voiture balai pour qu’elle m’amène au finish, j’entrevois le bout de mon tunnel. Le km15, celui où on se dit « allez, plus que 6km, c’est jouable »… enfin c’est pas vraiment moi qui me le dit, c’est chéri qui me rabache les oreilles. Moi je ne suis plus là. Je mets mon i pod sur les oreilles pour la première fois depuis le début du parcours. Je ne veux plus entendre chéri et son optimisme à toute épreuve.
Ma course se désorganise, je cours penchée, la tête en avant, les bras pliés et les mains en l’air au niveau de mes épaules, car ça y est je l’attendais ; j’ai le syndrome de la Knacki. Mes 10 doigts sont comme des petites saucisses cocktail, tout gonflés, douloureux. Manquait plus que ça tiens ! Je ne me tiens plus droite du tout, mes jambes sont toutes raides, mais elles font leur job, je ne leur en demande pas plus !
Je suis au fond du peloton, enfin, à mon niveau il n’y a plus de peloton, juste quelques âmes égarées qui courent sans vraiment en avoir conscience.
Devant moi il y a une vieille dame avec son mari. Elle aussi, elle l’a fait venir pour qu’il l’encourage. Ils sont mignons. J’ai beaucoup d’admiration pour elle, pour oser se donner des défis à son age (qui dépasse allègrement les 60ans), et pour lui, pour être là à ses côtés. J’ai l’âme sensible sur ce 15eme kilomètre. Et j’ai chaud.
Avec chéri on les doublent, puis ils nous re-doublent. Ce petit manège va durer 3 ou 4 kilomètres, car nous alternons elle et moi marche et course, et nos chéris… beh ils nous suivent.
Au km19, elle se met à marcher, mais moi je veux finir, je n’en peux plus de courir, alors je la dépasse une bonne fois pour toutes. Courir c’est nul, c’est naze, je ne referais plus jamais de semi marathon, JAMAIS. Puis je me dis : mais qu’est ce qu’il est agressif ce soleil aujourd’hui...
Je croise des coureurs qui retournent à leurs voitures, j’ai envie de les étriper. Car moi je n’ai pas fini. Il me reste encore 2 foutus kilomètres. J’ai chaud. Mais qu’est ce qu’il a le soleil à m’agresser comme ça hein ? Je lui ai rien fait moi. Et puis c’est fin octobre, zut à la fin. BARRE TOI LE SOLEIL !
Au km20, pas de panneau, mais un bénévole qui nous crie qu’il n’en reste plus qu’un. Ouf, je suis au bout de ma vie. Sur mon baladeur, la chanson « Sur ma route » commence… « sur ma route, j’ai eu des moments de doute, j’marchais sans savoir vers où… » On pouvait pas tomber mieux comme power song !
500mètres avant l’arrivée, un MUR. Nous arrivons dans le petit village d’Hondarribia. Et juste avant le finish, ce put*** de mur. Une côte pavée, raide comme c’est pas permis. Histoire de nous achever avant la fin… Les spectateurs ont beau me dire que le finish est en haut de la côte (en espagnol en plus), mes mollets ne peuvent plus. Je marche, vite, très vite, en faisant de grands pas, comme quand on monte des escaliers deux par deux. Dans les oreilles « In the End » de Linkin Park… ouais c’est bientôt THE END.
Je vois l’arche, c’est la fin. Je prends chéri par la main, et on accélère le rythme. Arrivée à l’arche… c’est pas le finish. Il y a une seconde arche qui nous attend 100mètres plus loin. Bonjour les vicieux.
On sprinte, enfin… ce qui s’apparente à un sprint dans ma tête ne se résume qu’à une légère accélération en réalité. Mais je donne tout ce que j’ai, car je veux finir.
Ca y est, on y est. C’est terminé.
Je rends ma puce électronique, prends mon sac finisher, et me trouve une ruelle pour m’écrouler par terre.
Je ne réalise pas vraiment. J’étais tellement persuadée que j’allais abandonner à mi parcours que je me demande ce que je fais là.
Mon premier semi marathon, je m’en souviendrais !
Et histoire de finir sur une note positive (si si, je suis positive parfois) ; demain je nous inscrit Chéri et moi pour la première édition du semi marathon de Bordeaux Métropole.
Il se tient de nuit. J'en ai fini avec le soleil, j'ai rdv avec la lune le 18 avril !
Et pour conclure: croyez en vous!
Coco
tenu le pari fou de terminer un semi marathon. Malgré mes kilos en trop et mon grand (trop grand) manque de confiance en moi. C'est ma grande réussite du moment!
La baie de Saint Jean de Luz est bondée de coureurs, les organisateurs annoncent qu’il y a 2500 coureurs, et ils ont du refuser près de 1000 inscriptions, faute de places.
Bizarrement, je ne suis pas stressée.
Par contre, je n’ai aucune idée quant à ma capacité à courir une telle distance. Oui car il faut préciser que j’ai débuté la course à pied en avril 2013. J’ai fait ma toute première course en juin 2013 (un 5km), mon premier 10km en décembre 2013 et je n’ai JAMAIS fait de course d’une distance plus longue.
Parcourir ces 21.1km, ça me semble fou, impensable, surtout avec 10kg de trop sur les fesses!
Alors oui, j’ai fait une préparation, mais je ne cours JAMAIS quand il fait plus de 25 degrès (appelez moi, Vampirella, je déteste le soleil ; et il me le rend bien).
Donc après une pause l’été 2014 pour cause de « beau temps », j’ai entrepris cette préparation avec la ferme intention de FINIR ce semi marathon. Ne parlons pas de chrono, ce n’était pas l’objectif.
Mais revenons sur la plage de Saint Jean de Luz. Il fait beau, très beau même. Et il y a beaucoup de monde.
Evidemment je commence à me comparer aux autres coureuses, bien plus sveltes que moi. Ca me met un peu mal à l’aise, j’avoue.
Avec chéri on décide de s’échauffer 10min avant le départ, on se cale dans la masse de coureurs, plutôt au fond du peloton et c’est parti ! Chéri m'accompagne dans mon pari fou, avec un seul rôle: me supporter (à tous les sens du terme).
11h00, le top départ est donné, et il nous faudra près de 2minutes pour passer les bornes de déclenchement de nos puces électroniques.
Les 5 premiers kilomètres se passent assez bien, mais le soleil commence déjà à m’insupporter. J’ai chaud, froid, j’ai la chair de poule et je commence à souffler. Déjà je me dis ! Et dire que je n’ai même pas fait un quart du chemin…
Cela dit, le paysage est fantastique, nous courons sur la corniche reliant Saint Jean de Luz a Hendaye ; a droite l’océan, à gauche les paysages verdoyants de la côte basque.
Arrivée au 8eme kilomètre, une côte, encore. C’est la cinquième, et j’ai le moral qui commence fortement à baisser.
Chéri me rassure, me dit qu’après celle là, c’est que du plat jusqu’à la fin, promis!Mais ce soleil, ce put*** de soleil qui me tape sur la joue gauche, je le déteste. Je me surprends à penser que ça aurait été mieux qu’il pleuve…
A ce niveau de la course, jambes ok, moral: dans les chaussettes.
Je commence la complainte du coureur au bout du rouleau « Chéri j’y arriverai pas », « J’arrete », « J’ai eu trop d’ambition », « La course c’est pas pour moi, je suis trop grosse »…. 40min de plaintes incessantes.
Chéri, évidemment, a réponse à tout, trouve une solution à tous mes faux soucis et mes vraies excuses. Je commence à regretter de lui avoir demandé de me soutenir pour mon premier semi ! J’ai un peu envie de lui arracher la langue pour qu’il arrête de parler ! Je n’arrive même pas à lui répondre. La seule chose que je suis capable de dire est « je suis désolée ». Lui, il est frais comme un gardon, il a mal nulle part, et sa peau hispanique est résistante aux UV, contrairement à ma peau de vampire qui commence à brûler.
Il me rabat les oreilles qu’il n’est pas question que je m’arrête avant le km10, car j’ai déjà fait des 10km et que celui là n’est pas plus difficile qu’un autre… mouais, pas faux, sauf que dans ce cas de figure, j’ai 11 autres kilomètres à m’enquiller après ces 10 là… non mais vraiment c’est un sport de grand malade quand même… puis il fait chaud. Trop chaud.
Après un grand passage à vide du 8eme au 14eme kilomètre, à me plaindre toutes les secondes et à chercher désespérément la voiture balai pour qu’elle m’amène au finish, j’entrevois le bout de mon tunnel. Le km15, celui où on se dit « allez, plus que 6km, c’est jouable »… enfin c’est pas vraiment moi qui me le dit, c’est chéri qui me rabache les oreilles. Moi je ne suis plus là. Je mets mon i pod sur les oreilles pour la première fois depuis le début du parcours. Je ne veux plus entendre chéri et son optimisme à toute épreuve.
Ma course se désorganise, je cours penchée, la tête en avant, les bras pliés et les mains en l’air au niveau de mes épaules, car ça y est je l’attendais ; j’ai le syndrome de la Knacki. Mes 10 doigts sont comme des petites saucisses cocktail, tout gonflés, douloureux. Manquait plus que ça tiens ! Je ne me tiens plus droite du tout, mes jambes sont toutes raides, mais elles font leur job, je ne leur en demande pas plus !
Je suis au fond du peloton, enfin, à mon niveau il n’y a plus de peloton, juste quelques âmes égarées qui courent sans vraiment en avoir conscience.
Devant moi il y a une vieille dame avec son mari. Elle aussi, elle l’a fait venir pour qu’il l’encourage. Ils sont mignons. J’ai beaucoup d’admiration pour elle, pour oser se donner des défis à son age (qui dépasse allègrement les 60ans), et pour lui, pour être là à ses côtés. J’ai l’âme sensible sur ce 15eme kilomètre. Et j’ai chaud.
Avec chéri on les doublent, puis ils nous re-doublent. Ce petit manège va durer 3 ou 4 kilomètres, car nous alternons elle et moi marche et course, et nos chéris… beh ils nous suivent.
Au km19, elle se met à marcher, mais moi je veux finir, je n’en peux plus de courir, alors je la dépasse une bonne fois pour toutes. Courir c’est nul, c’est naze, je ne referais plus jamais de semi marathon, JAMAIS. Puis je me dis : mais qu’est ce qu’il est agressif ce soleil aujourd’hui...
Je croise des coureurs qui retournent à leurs voitures, j’ai envie de les étriper. Car moi je n’ai pas fini. Il me reste encore 2 foutus kilomètres. J’ai chaud. Mais qu’est ce qu’il a le soleil à m’agresser comme ça hein ? Je lui ai rien fait moi. Et puis c’est fin octobre, zut à la fin. BARRE TOI LE SOLEIL !
Au km20, pas de panneau, mais un bénévole qui nous crie qu’il n’en reste plus qu’un. Ouf, je suis au bout de ma vie. Sur mon baladeur, la chanson « Sur ma route » commence… « sur ma route, j’ai eu des moments de doute, j’marchais sans savoir vers où… » On pouvait pas tomber mieux comme power song !
500mètres avant l’arrivée, un MUR. Nous arrivons dans le petit village d’Hondarribia. Et juste avant le finish, ce put*** de mur. Une côte pavée, raide comme c’est pas permis. Histoire de nous achever avant la fin… Les spectateurs ont beau me dire que le finish est en haut de la côte (en espagnol en plus), mes mollets ne peuvent plus. Je marche, vite, très vite, en faisant de grands pas, comme quand on monte des escaliers deux par deux. Dans les oreilles « In the End » de Linkin Park… ouais c’est bientôt THE END.
Je vois l’arche, c’est la fin. Je prends chéri par la main, et on accélère le rythme. Arrivée à l’arche… c’est pas le finish. Il y a une seconde arche qui nous attend 100mètres plus loin. Bonjour les vicieux.
On sprinte, enfin… ce qui s’apparente à un sprint dans ma tête ne se résume qu’à une légère accélération en réalité. Mais je donne tout ce que j’ai, car je veux finir.
Ca y est, on y est. C’est terminé.
Je rends ma puce électronique, prends mon sac finisher, et me trouve une ruelle pour m’écrouler par terre.
Je ne réalise pas vraiment. J’étais tellement persuadée que j’allais abandonner à mi parcours que je me demande ce que je fais là.
Mon premier semi marathon, je m’en souviendrais !
Et histoire de finir sur une note positive (si si, je suis positive parfois) ; demain je nous inscrit Chéri et moi pour la première édition du semi marathon de Bordeaux Métropole.
Il se tient de nuit. J'en ai fini avec le soleil, j'ai rdv avec la lune le 18 avril !
Et pour conclure: croyez en vous!
Coco
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Réponses
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Bravo, t'as eu sacrément courage !
Et je te dis franchement que si t'arrivais encore à parler après le 10ème kilomètre, c'est que t'es une sacrée BONNE coureuse.
Pour le soleil, la prochaine fois prévois une bonne tartine de +50 bébé, c'est efficace.
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un énorme bravo , à toi et à ton chéri !!! je suis admirative de tant de tenacité , de force d'esprit ...et quelle prose , j'ai eu l'impression d'y être avec vous en lisant ton récit ;-)
merci d'avoir partagé ton expérience
et encore BRA-VO !!!!!
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Moi je dis BRAVO la finisher
J'ai un semi dans 15 jours0 -
Merci! En fait j'ai vraiment eu l'impression que le mental, c'était mon chéri qui l'avait! Moi j'étais absente de l'intérieur!
Oui abyssefx, bientot ton tour! Faudra nous raconter!
Virginy62, et encore le texte j'ai du le raccourcir!0 -
Bravo pour le semi, et bravo pour le récit, très prenant.0
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Moi je redis un grand Bravo pour moi aussi ca va etre mon premier semi marathon par contre j'ai l habitude de courir ces distances je cours facilement 25 km mais la c est pas pareil
Au départ je voulais le faire pour le fun juste histoire de voir ce que je donnais sur un parcours officielle .
Mais maintenant depuis 2 semaine je me suis fixé un temps a voir si je vais le tenir ou non
Je suis très sportif depuis mes 8 ans je fait du sport
J'ai commencer par la gymnastique ou j'ai été champion de France j'ai ensuite fait du Rugby jusqu'à l année dernière ca va faire 25 ans que je fait de la voile que ce sois en bateau et en planche et kite et je me suis mis a la course il va y avoir 7 ans après l arret de la cigarette .
La j avoue être très motivé et je me suis inscrit a un 35 km en trail donc avant de le faire je veux voir ce que je donne sur un semi
Ce qui me fait chiez c est de le faire seul c est le seul truc qui me fait chiez en faite
On c est inscrit au 35 km avec mon beau frère et je pensais le convaincre a faire un semi avant mais il veux pas le couillon0 -
mon chéri qui aurait pu courir bien plus vite m'a dit à la fin: heureusement que je l'ai fait avec toi, courir tout seul, c'est chiant!
ce que tu peux faire c'est te trouver un type qui a le même rythme que toi (voir un peu plus rapide) avec qui tu peux échanger quelques mots et quelques sourires, ca aide à rester motivé!0 -
Je m inquiete pas je vais bien trouvé0
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Yeah c'est pas rien un semi bravo !!! 0
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Franchement, bravo pour la performance, bravo pour le récit, continue/continuons à écrire, et les nouveaux adeptes de la course en semi vont essaimer
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Bravo pour ta perséverance et merci pour ce récit "comme si on y était" (je crois même que j'ai pris un coup de soleil en te lisant
)
J'envisage de sauter le pas et tenter un semi au printemps prochain. D'ici_là, j'ai 1 ou 2 trails de 15km de prévus.0 -
C'était super émouvant de te lire; merci pour le récit, et vraiment BRAVO pour cette belle réussite, car ça en est une, un SEMI c'est quand même quelque chose !
*totalement admirative*
Me tarde le récit du semi de nuit du coup ! 0 -
Vous êtes géniaux, ton Chéri et toi. ne te relativises cependant pas, il y a une réalité que je te souhaite de voir : C'est toi qui a couru ce semi, ce sont tes jambes, ton coeur et ta force que tu as mobilisé. "Chéri", lui, a su remarquablement te révéler la force et le mental qu'il voit en toi, et parfois te distraire (te saouler ? oui, et c'est bien joué !) de tes doutes.
Il t'a montré comment passer les barrières que tu te mets parfois, mais c'est toi seule qui les a franchie.
Vous êtes super sur la photo. Si vous êtes encore du côté d'Hendaye, offrez vous un jour de thalasso chez Srge Blanco, pour marquer le coup !
Merci d'avoir partagé ainsi
P.S. : y avait quoi dans le sac ?0 -
Bravo tu es finisher ! comme on dit ! Ton récit, super ! on s'y croyait vraiment. Si j'ai un conseil, quand il fait chaud, faut pas courir déjà en noir, ça attire la chaleur, ensuite, essaye de mettre un cuissard à la place d'un long, ça tient horriblement chaud.0
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Non moi c est le semi marathon de Beaune et mon premier objectif est de finir sous les 2h00 voir 1h50 .
Et ensuite je prépare un 35 km en trail0 -
Salut,
bon pour l'instant j'ai pas taquiné de semi officiel mais je me suis fait plaisir plusieurs fois en partant tout seul comme un grand pour 21km100 sur des parcours différents avec podomètre, gps, runstatic pour pouvoir vérifier les km...
Au bout du compte même sans être officiel la satisfaction de finir est là.
Moins d'1h45 à 1h50 suivant le parcours, je suis content car je pense qu'en officiel je peux faire un peu mieux avec l'ambiance qui t'aide à finir...
Je vais voir celui de la Rochelle qui est sympa.
Je pensais en faire un le 8/11/2014 mais c'est mort !!! tant pis je continu à courir pour le semi et pour peut être un marathon fin 2015 début 2016 je l'espère.
Bonne journée à tous
Bravo encore pour le semi
Bravo à tout les personnes qui se prennent en main pour l'alimentation et le sport (*)
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Moi aussi j ai taquiner 24 km en 2h30 l autre fois et j'ai taper 17km en 1h33 sur des parcours avec du dénivelé et je suis come toi je n'ai fait aucun parcours officielle mais j enchaine les kms sans que ca me pose un réelle problème
Je voulais le faire pour connaitre mon temps officielle et voir ce que je peu donner sur cette distance avant ce faire le 35km qui lui sera beaucoup plus hard avec un dénivelé négatif et positif de 1000- et +
-
Le semi est pour le 15 novembre donc la semaine prochaine
J'ai pris un pass running mais je vais prendre une licence au triathlon pour pouvoir bénéficier de la piscine et faire le cap VMA en groupe je trouve que l'intensité n est pas la même
Je suis sportif a la base donc la compétition j'aime ca je ne cherche pas a être premier mais a faire quelque chose sur mon premier Semi
Après je vais enchainer avec le 35km mais je pense également au marathon qui je pense peu être jouable .
Pour le 35 km le temps a ne pas dépasser est de 5h00 lol il y a de la marge mais 37 km en cote avec du gros dénivelé c est bon
J'ai également changer toute mon alimentation pour progresser dans la course j'ai stoper le rugby il y a 1an et demi et l alimentation rugby running ne vont pas ensemble je ne pouvais pas me permettre de faire un temps avec l alimentation pour le rugby
Et je tout comme Jeff je tire mon chapeau au personne qui se prennent en main un grand BRAVO a vous0 -
Ah oui et je cherche une personne ayant fait un semi chez les hommes
Ma question est que manger la semaine du semi ?0 -
Ton dossard et celui de ton Chéri, tu peux le faire encadrer pour le garder comme 1er trophée !!! Il y en aura d'autres...0
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Salut
Avant le semi :
Voilà en gros une alimentation sympa la semaine avant le semi
Bonne journée
0 -
Toutes mes félicitations! Un beau récit....on s'y croirait! Et puis une belle performance.
Il y a quelques années je courrai un petit peu et je me souviens de ma première course; un cross à Bourges comme cadeau d'anniversaire (pour mes 30 ans). Tu aurais aimé....il faisait un froid de canard!
çà me donne envie de recourir tout cela, mais j'ai mal aux genoux donc je me contente de marche rapide!0 -
Vous êtes géniaux, ton Chéri et toi. ne te relativises cependant pas, il y a une réalité que je te souhaite de voir : C'est toi qui a couru ce semi, ce sont tes jambes, ton coeur et ta force que tu as mobilisé. "Chéri", lui, a su remarquablement te révéler la force et le mental qu'il voit en toi, et parfois te distraire (te saouler ? oui, et c'est bien joué !) de tes doutes.
Il t'a montré comment passer les barrières que tu te mets parfois, mais c'est toi seule qui les a franchie.
Vous êtes super sur la photo. Si vous êtes encore du côté d'Hendaye, offrez vous un jour de thalasso chez Srge Blanco, pour marquer le coup !
Merci d'avoir partagé ainsi
P.S. : y avait quoi dans le sac ?
Dans le sac, y'avait une bouteille de powerade bleue (j'avais jamais gouté, je l'ai sifflée en 30 secondes chrono), une bouteille d'eau (bue en 2minutes aussi, à la suite du powerade!), une pomme, une orange, un mini kit kat, une mini tablette de chocolat Nestlé "extrafino" sans gluten, une brique de 2litres de lait de poule (what??? un peu bizarre), une barre de céréales banane/chocolat (gobée entre les deux bouteilles). On a été gâté!
Merci de ton commentaire, c'est super gentil.
Serge Blanco, je connais, je vis au Pays Basque!
0 -
Veinarde ! Quel belle région ! On s'est offert la thalasso chez Blanco avec mon épouse, c'était super ! Depuis, ils ont rénové, j'aimerai bien y retourner.
Autre lieu magique visité au même moment : le château-observatoire d'Abbadia !0
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