La meilleure tactique ?
MamieTamar
Messages: 252 Member
Qu'est-ce qui vous paraît la démarche la plus efficace :
1) Fixer un taux de calories relativement haut et s'y tenir sans rien ajouter pour l'exercice, ou
2) Fixer un taux de calories relativement plus bas mais utiliser les calories gagnées par l'exercice ?
Les deux ont des avantages et des inconvénients, quelle est votre expérience ?
1) Fixer un taux de calories relativement haut et s'y tenir sans rien ajouter pour l'exercice, ou
2) Fixer un taux de calories relativement plus bas mais utiliser les calories gagnées par l'exercice ?
Les deux ont des avantages et des inconvénients, quelle est votre expérience ?
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Réponses
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Ni l'une ni l'autre en ce qui me concerne. Je me base sur l'expérience, et les évolutions passées.
Par exemple, ma semaine dernière a été contre-productive car j'ai repris du gras. J'ai fait beaucoup plus de sport mais cela s'est répercuté sur mon appétit. Donc à 2300Kcal/jour en temps "calme" niveau sport, je perd du poids car il y a très peu d'écarts et je suis souvent juste bien à ce niveau. Là je suis en reprise de la saison de course à pied. Du coup, j'ai tendance à me lâcher après les entraînements. De plus, deux cheat-days m'ont également foutu la zonze dans ma digestion. --> Réaction : Descente à 2000Kcal cette semaine avec réduction des aliments qui constipent. Ainsi, je me ménage un peu de marge pour les repas de récupération après les sorties course
Après, je sais que les ajustements sont légion et j'ai maintenant une bonne expérience de mon corps et de ses réactions. Je pense que la définition de notre niveau alimentaire est une affaire personnelle basée sur l'expérience.0 -
Moi je fais une moyenne sur plusieurs jours voir sur la semaine, je suis incapable de manger tous les jours le même nombre de calories. Des fois ça peut être 2000 (voir plus si j'ai très faim ou les lendemains de sport) et des fois 1200 (voir un peu moins si je n'ai pas faim ou si je n'ai pas eu l'occasion de manger plus de chose "riches"). Je pense que comme ça aussi mon corps ne s'habitue pas à un nombre donné et ne passe pas en mode famine.0
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Moi je fais une moyenne sur plusieurs jours voir sur la semaine, je suis incapable de manger tous les jours le même nombre de calories. Des fois ça peut être 2000 (voir plus si j'ai très faim ou les lendemains de sport) et des fois 1200 (voir un peu moins si je n'ai pas faim ou si je n'ai pas eu l'occasion de manger plus de chose "riches"). Je pense que comme ça aussi mon corps ne s'habitue pas à un nombre donné et ne passe pas en mode famine.
Comment tu te débrouilles avec ton journal alimentaire ? En notant ce que tu manges effectivement, peu ou beaucoup, sans tenir compte de quoi que ce soit d'autre ?0 -
@cecemoi : Dans un autre post, tu dis ne pas peser. Comment fais-tu du coup pour connaître tes calories ???0
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Je fais du pifomètre pour mes poids d'aliments et de journal alimentaire, du coup c'est aussi pour ça que je ne fais pas tous les jours de même nombre de calories. J'ai pesé un peu au début pour avoir une idée des proportions que je mange et je le refais de temps en temps (par exemple je "vois" à quoi correspond 50 g de pain ou 100 g de riz ou pâtes cuites ou les légumes cuits. Si j'ai mis de la crème ou de l'huile dans le plat familial je compte 1/5 (et oui on est 5 à table) de ce que j'y ai mis, etc...
Mon journal n'est donc pas vraiment précis (pareil, le matin vous arrivez à compter le poids exact de beurre que vous mettez sur vos tartines ? Moi j'estime à partir du morceau de beurre qu'il y a dans les hôtels et qui font 10 g.)
Pour MamieTamar, en fait oui je note ce que je mange effectivement (enfin plus exactement ce que j'ai estimé effectivement manger) tout en sachant que je cuisine léger (fromage blanc à la place de la crème), peu de glucides mais je mange de tout. En fait mon "régime" à moi consiste juste à diminuer mes quantités (et de baisser les quantités de gâteaux et bonbons que je mangeais mais je n'ai jamais "mal" mangé). Et je fais pas mal de sport....0 -
Personnellement je ne tiens aucun compte de calories dépensées par l'exercice et je ne les déduits pas spécialement.
Je ne pèse rien.
D'ailleurs, chez moi, les calories comptent au final moins que la répartition alimentaire :
- manger moins le soir et plus le matin est mieux qu'à l'inverse ;
- consommer moins de glucides et plus de lipides et de protéines est plus avantageux qu'à l'inverse.
Je "tourne" sur -100 de glucides/jour, parfois 40 g, parfois 120 g, rarement plus. Je perds quand je suis en low carb.0 -
@cecemoi , si tu manges des gâteaux et des bonbons, tu manges mal, quelque soit la quantité Les sucreries c'est de la pure malbouffe, quoi que t'en penses.0
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(pareil, le matin vous arrivez à compter le poids exact de beurre que vous mettez sur vos tartines ? Moi j'estime à partir du morceau de beurre qu'il y a dans les hôtels et qui font 10 g.)
Moi je le fais. J'ai ma balance sur la table je mets le pain dessus, TARE, je tartine et je compte. Ca va que je petit dejeune rarement
Pour moi le cheat day c'est les jours où je compte pas parce que c'est trop compliqué : voyage, invités etc. Je mange déjà de tout, tout le temps mais en comptant donc je reste dans les limites que je me suis fixées. Le jour du cheat day je relâche juste cette pression sur le fait de compter donc ça se trouve je suis même dans mes limites J'ai déjà perdu du poids après des soirées fondue haha
C'est clair que pour moi c'est une transition le fait de compter ses calories. J'essaie d'être rigoureuse tout le temps parce que je sais (par experience) que si j'ouvre une "brèche de négligence" je vais m'y engouffrer. Quand j'aurais atteint mon objectif j'essaierai de relâcher petit à petit en espérant avoir gardé les bonnes habitudes.0 -
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paleolithique a écrit: »@cecemoi , si tu manges des gâteaux et des bonbons, tu manges mal, quelque soit la quantité Les sucreries c'est de la pure malbouffe, quoi que t'en penses.
Finir un repas sur dessert (très souvent fruit, parfois gâteau-maison toujours, compote, yaourt) est pour moi indispensable et fait partie des plaisirs de la vie. Manger une viennoiserie lors des "pauses café au boulot quand qqn fête qqch" a un rôle social/professionnel très important pour moi, prendre un bonbon juste par plaisir ! Boire un apéro avec des copains c'est indispensable aussi à mon équilibre ! Faire une soirée pizza ou crêpes avec les enfants le samedi soir c'est la fête !
Mais sur les repas je mange beaucoup de légumes, légumineuses, un peu de protéines et très peu de féculent...
Je ne me considère pas "mal mangé" (mais c'est sûr que je ne fais pas comme toi que des produits non transformés...) donc chacun sa définition !0 -
@cecemoi, inutile de se justifier auprès des ayatollahs de la chasse aux produits plaisir... Certains ici considèrent, quoiqu'ils en disent, posséder la seule vérité vraie et se font un plaisir de te la balancer à la figure, peut-être afin de s'auto-valider dans leurs choix de vie stigmatisants.
C'est comme ça, on est sur un forum, tous les avis s'expriment... Même si parfois ça prend un peu la tête de recevoir ce genre de sentence définitive et moralisatrice.
Je suis dans le même cas, je n'hesite pas à ajouter quelques produits sucrés à mes menus, et surtout je ne culpabilise pas !!! (Hier, 3 chouquettes et 3 oeufs pralinés, super bon quand on n'en mange qu'à l'occasion ).
Je ne parle même pas des doses de féculents que je m'octroi à tous les repas ! Et pourtant, je maigris à un rythme continu et parfaitement soutenable... Mais là on va me dire que c'est parce que je suis un mec, et que ce qui s'applique à moi n'est pas forcément vrai pour tout le monde0 -
Popeye2new a écrit: »Mais là on va me dire que c'est parce que je suis un mec, et que ce qui s'applique à moi n'est pas forcément vrai pour tout le monde
Et on n'aura pas absolument tort...
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Ou pas0
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J'ai perdu 15 kg tout en continuant à profiter du plaisir de manger de tout, en petite quantité et pas tous les jours. Et pourtant je suis une femme de 40 ans ayant eu 3 enfants ) Et mon poids le plus haut quand j'ai démarré ma démarche de perte de poids a été 71 kg pour 1,67m (donc un poids haut mais "normal" en terme d'IMC). Depuis mon enfance je pense avoir toujours mangé "sainement" mais un peu trop donc les kg se sont accumulés très lentement, jusqu'au jour où j'ai eu un déclic. Je souhaiterai encore en perdre 2 ou 3 mais ceux là ont l'air bien accrochés ! Je fais aussi pas mal de sport.
Je ne dit pas que cela s'applique à tout le monde mais c'est ma façon de faire pour me sentir bien.0 -
MamieTamar a écrit: »Popeye2new a écrit: »Mais là on va me dire que c'est parce que je suis un mec, et que ce qui s'applique à moi n'est pas forcément vrai pour tout le monde
Et on n'aura pas absolument tort...
Ayant tendu la perche , je vais vous dire ce que j'en pense (qui d'ailleurs s'accorde avec le dernier message de cecemoi).
Beaucoup de gens ici et ailleurs font des régimes à répétition (et/ou mangent des rations chroniquement insuffisantes), ce qui finit par tout détraquer chez eux : sentiment de faim / satiété complètement inhibés, défenses métaboliques en mode "conflit nucléaire permanent", carences plus ou moins graves avec des répercussions sur le cerveaux (niveaux de certains neurotransmetteurs trop bas), déclenchement de troubles alimentaires compulsif... le plein de joyeusetés, quoi !
Bref, à force d'outrances dans les régimes, le corps ne "fonctionne plus" comme il devrait (tandis que pour d'autres personnes, pas de bol, ce sont des problèmes génétiques et/ou hormonaux - résistance à l'insuline et à la leptine, par exemple - qui font qu'elles ne peuvent plus perdre de poids normalement).
Donc, effectivement, quand on se trouve en conflit avec son métabolisme, les problèmes sont légion et on est démunis face à sa "non perte de poids" (cf une partie des messages sur ce forum, comme par hasard). Et là, malheur ! On tombe dans l'incantation magique, on cherche des martingales pas possibles pour relancer la machine et lutter contre les paliers, le yo-yo, enfin tous les subterfuges que déploie l'organisme qui a bien compris qu'on essayait de se fiche de sa figure...
C'est assez tragique comme situation : on est en grande souffrance, on culpabilise pour le moindre bout de pain avalé en douce et non comptabilisé dans MFP, on adopte malgré soi une position de soumission totale par rapport "aux gens qui savent"... et qui vont vous faire encore plus culpabiliser (par malin plaisir ?) en critiquant votre façon de vous nourrir, vos "penchants troubles" pour les "mauvaises nourritures", etc. Certains, persuadés (ou non) de bien faire, cherchent même à vous entrainer dans plus de restrictions encore, au risque de votre santé (chiffres de mortalité à l'appui).
Les "phrases assassines", on ne les trouve pas que sur le topic du même nom !
Pour d'autres "veinards", qui sont simplement des gens normaux (je me compte dedans, mais cecemoi aussi, comme plein d'autres), et bien il suffit d'adopter une démarche censée (perte lente, équilibre alimentaire, changement de mode de vie, activité physique) et ça roule presque tout seul...
Malheureusement, on est aussi le produit de nos erreurs passées. Même si il est possible de changer (je pense en être la preuve, après des années d'errance), on traine derrière soi son historique, et l'adaptation ne peut pas se faire du jour au lendemain !0 -
Popeye2new a écrit: »MamieTamar a écrit: »Popeye2new a écrit: »Mais là on va me dire que c'est parce que je suis un mec, et que ce qui s'applique à moi n'est pas forcément vrai pour tout le monde
Et on n'aura pas absolument tort...
Ayant tendu la perche , je vais vous dire ce que j'en pense (qui d'ailleurs s'accorde avec le dernier message de cecemoi).
Beaucoup de gens ici et ailleurs font des régimes à répétition (et/ou mangent des rations chroniquement insuffisantes), ce qui finit par tout détraquer chez eux : sentiment de faim / satiété complètement inhibés, défenses métaboliques en mode "conflit nucléaire permanent", carences plus ou moins graves avec des répercussions sur le cerveaux (niveaux de certains neurotransmetteurs trop bas), déclenchement de troubles alimentaires compulsif... le plein de joyeusetés, quoi !
Bref, à force d'outrances dans les régimes, le corps ne "fonctionne plus" comme il devrait (tandis que pour d'autres personnes, pas de bol, ce sont des problèmes génétiques et/ou hormonaux - résistance à l'insuline et à la leptine, par exemple - qui font qu'elles ne peuvent plus perdre de poids normalement).
Donc, effectivement, quand on se trouve en conflit avec son métabolisme, les problèmes sont légion et on est démunis face à sa "non perte de poids" (cf une partie des messages sur ce forum, comme par hasard). Et là, malheur ! On tombe dans l'incantation magique, on cherche des martingales pas possibles pour relancer la machine et lutter contre les paliers, le yo-yo, enfin tous les subterfuges que déploie l'organisme qui a bien compris qu'on essayait de se fiche de sa figure...
C'est assez tragique comme situation : on est en grande souffrance, on culpabilise pour le moindre bout de pain avalé en douce et non comptabilisé dans MFP, on adopte malgré soi une position de soumission totale par rapport "aux gens qui savent"... et qui vont vous faire encore plus culpabiliser (par malin plaisir ?) en critiquant votre façon de vous nourrir, vos "penchants troubles" pour les "mauvaises nourritures", etc. Certains, persuadés (ou non) de bien faire, cherchent même à vous entrainer dans plus de restrictions encore, au risque de votre santé (chiffres de mortalité à l'appui).
Les "phrases assassines", on ne les trouve pas que sur le topic du même nom !
Pour d'autres "veinards", qui sont simplement des gens normaux (je me compte dedans, mais cecemoi aussi, comme plein d'autres), et bien il suffit d'adopter une démarche censée (perte lente, équilibre alimentaire, changement de mode de vie, activité physique) et ça roule presque tout seul...
Malheureusement, on est aussi le produit de nos erreurs passées. Même si il est possible de changer (je pense en être la preuve, après des années d'errance), on traine derrière soi son historique, et l'adaptation ne peut pas se faire du jour au lendemain !
je me retrouve dans tout ce que tu as dis, et pas que dans ce poste, j'ai eu un parcours tres atypique, apres une perte de 50kg, la j'en ai repris 10 et je me sens mal, mais vraiment vraiment mal, car je n'arrive pas me passé de la mal bouffe qui pour moi est juste le seule plaisir que j'ai dans ma vie, je suis tellement deprimé, quand je mange un gateau, un paquet de chips c'est 5 minutes de pur bonheur, mais apres c'est juste la descente au enfer, tellement que j'aurai prefere etre accro a une drogue dur plutot qu'a la nourriture, j'ai 20 ans, et quand on me dit " tu es encore jeune, tu vas vivre encore longtemps ... ect " ca me rend triste, car j'ai encore des années de frustration et de privation devant moi, voyez ou j'en suis rendu, je n'ai jamais osez le dire ou meme y penser, mais pour moi, il est plus simple de mourir tot jeune maintenant, plutot que de vivre longtemps sans mes plaisir, je suis peut etre malade psychologiquement, je dois surement consulter un psy me diriez vous, c'est deja fait, psy coach de vie, que de l'argent par les fenetres, et toujours le meme plaisirs a manger.
mon plaisir est aussi la source de mon malheur... les années a venir serons noir.
alors avant de donner tous autant que vous etes vos lecons de moral, et dire que les chocolats et les biscuits c'est mal, c'est juste du sucre bla bla bla bla, dite que derriere un ecran, il y a peut etre des personnes qui en vous lisant ne font que sombré toujours plus.
je ne sais pas si j'ai eu raison de partagé avec vous ce que je ressens... je deteste le monde ou je vis, le monde de la consommation, le monde de la tentation, je me deteste pour ce penchant.1 -
@halakohen, ton témoignage est vraiment poignant... Tu as bien fait de t'exprimer, de dire ce qui ne va pas. C'est un peu le seul moyen pour que tu puisses recevoir quelques conseils pour la suite. Car oui, vivre ça à 20 ans, ce n'est pas franchement gai !!!
Cette très grosse perte de poids, tu l'as fait dans quelles conditions exactement ? As-tu toujours eu des problèmes de surpoids ? Parce que, là, il y a de bonnes chances que ce soit ça qui majore l'espèce de dépression dans laquelle tu sembles nager.
En tout cas, quand je lis les posts que tu as ouvert aujourd'hui, je me dis que tu ne vas VRAIMENT pas bien Faire une obsession sur la nourriture (pain, etc) ainsi que sur les calories de tout ce que tu manges est peut-être la dernière chose dont tu as besoin !!!
Tu as surtout grand besoin de te mettre moins la pression, même si je comprends que tu as aussi une très grande peur de reprendre les kilos perdus. Si tu as fait un régime très restrictif (et donc très rapide) pour perdre tout ce poids, cette envie de te jeter sur "la malbouffe" (gras et sucré) vient probablement des défenses métaboliques de ton corps, activées suite à cette période de "famine" qu'il vient de vivre. C'est sa stratégie à lui pour te "protéger" d'une perte de poids qu'il ne tolère pas...
Pour t'aider à ne pas craquer - tout en réapprenant à t'alimenter normalement (c'est à dire en mangeant de tout, de façon équilibré, tout en limitant le sucre) - il serait peut-être utile de voir du côté de certains compléments alimentaires.
Selon certaines sources (bouquin "Diet Cure" de Julia Ross - "Libérez-vous des fringales", en français), notre cerveau peut se retrouver dans un tel état après un régime / une malnutrition ou stress chronique que des neurotransmetteurs (acides-aminés) dont il a besoin ne sont plus en nombre suffisant. On se retrouve alors quasi obligés de sauter sur des "nourritures plaisirs", afin de compenser cette souffrance ou cette dépression. Ce qui coïncide d'ailleurs avec l'effet des défenses métaboliques citées plus haut...
Le bouquin en question indique qu'en se procurant ces acides-aminés sous une forme pure (compléments alimentaires), on peut rapidement - quelques minutes - soulager ces pulsions insoutenables et aller mieux. Peut-être que cela pourrait t'aider, vu que le traitement psychologique de tes pulsions n'a rien donné ? Tu peux en parler à quelqu'un dans ton entourage ?0 -
Cette très grosse perte de poids, tu l'as fait dans quelles conditions exactement ? As-tu toujours eu des problèmes de surpoids ? Parce que, là, il y a de bonnes chances que ce soit ça qui majore l'espèce de dépression dans laquelle tu sembles nager.
j'ai toujours etais ronde, a l'adolescence ca c'est a gravé, a 18 ans je pesais 105 kilo, j'ai fais un bypass en septembre 2013. aout 2014 j'etais enfin a 55kg. maintenant 65.
il serait peut-être utile de voir du côté de certains compléments alimentaires.
apres l'operation et jusqu'a la fin de ma vie je dois prendre des vitamines, avant je prenais surgiline, maintenant je prend un peu la meme chose mais pas la meme marque vue que je suis a montreal depuis peu
Tu peux en parler à quelqu'un de ton entourage ?
ma famille a tout fait pour que je perde du poids, les nutritionniste et diététicienne j'en cotois depuis mes 10 ans, pour eux ma reprise est grave, pour moi aussi d'ailleurs, ils ont tout fait pour que je me sente bien, je me suis sentis bien pendant un temps tres cours, entre 60 et 55kg. si je regrossi, ca sera un echec pour eux, et pour moi plus, si meme le bypass n'a pas eu raison de moi, je ne vois pas ce qui pourrai reussir sur moi.
en faite je ne veux pas en parler a ma famille, parce que ca ne sert a rien, ils ne peuvent pas faire plus.0 -
Popeye, je suis tout à fait d'accord sur le fond, j'ai simplement réagi à ton insinuation que non, ce n'était pas valable que pour les hommes. Tout ce que tu dis est juste, mais tout le monde sait bien par expérience que dans ce domaine, c'est toujours beaucoup plus facile pour un homme (probablement parce que la femme est programmée génétiquement pour avoir des enfants, encore que je ne voie pas clairement de quelle façon ça joue). Et puis il y a aussi sur ce forum beaucoup de gens qui ont des problèmes génétiques, autrement elles ne seraient pas ici, elles se débrouilleraient toutes seules, ce qui est relativement faisable quand on a grossi simplement parce qu'on mangeait trop. Pour beaucoup, dont moi, dont halaKohen et bien d'autres, ce n'est pas le seul problème. Et je ne parle pas de l'âge, qui n'est encore ni son problème ni le tien, mais qui est celui d'un nombre non négligeable de femmes sur le forum.
Alors certes ton message est valable, certes il peut en aider beaucoup, mais l'exprimer avec un tout petit peu moins de la violence verbale que tu manifestes parfois ne pourrait que le rendre encore plus audible.0 -
@MamieTamar , on oublie aussi, qu'uen femme a ses hormones et que ça change d'un homme... mais de tout !!! Et effectivement uen femme est programmée pour perpétuer la vie et donc elle doit stocker pour "nourrir ses gosses"
Et pire, stocker dans le bassin, dans le Q !!! Car cette graisse, cette cellulite, c'est .... le berceau d'humanité, messieurs dames...
Et que même dans les camps de concentration des prisonnières qui étaient très très maigres, elles avaient encore... leur gros Q (vous m'excusez).
@halakohen, rassure toi, tu te cherches tous simplement tu viens de prendre conscience que t'es accro à la malbouffe. Ce n'est pas étonnant, il est difficile de perdre du poids au Canada, rien qu'avec la Poutine et ces portions qu'un sert
Je te soutiens à fond...0 -
C'est tellement n'importe quoi, ce commentaire, comme si la poutine était la base de notre alimentation ! C'est comme si je disais que c'est impossible de maigrir en France avec ces baguettes et tous ces fromages. Si vous ne voulez pas en manger, commandez autre chose et si vous trouvez les portions trop grandes, demandez-en des demies ou apportez les restants.0
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C'est tellement n'importe quoi, ce commentaire, comme si la poutine était la base de notre alimentation ! C'est comme si je disais que c'est impossible de maigrir en France avec ces baguettes et tous ces fromages. Si vous ne voulez pas en manger, commandez autre chose et si vous trouvez les portions trop grandes, demandez-en des demies ou apportez les restants.
@isallende, depuis toutes ces années que je vais au Canada régulièrement pour mon travail, je vois bien qu'il est très difficile de manger équilibré si l'on mange au resto...
Quand je dis "Poutine" c'est bien entendu une caricature , mais même quand l'on veut une salade les portions sont énormes et il y a une sauce grasse, etc...
Par contre, je ne savais pas qu'on peut demander des demi-portions, tiens, c'est une trouvaille et je t'en remercie.0 -
Tout est dans le "au resto". Il y a fort probablement des gens qui mangent toujours au resto, mais habituellement, on cuisine. Ce n'est pas plus difficile ici qu'ailleurs de choisir des bons aliments à cuisiner. Quand on est contraint de manger au resto pendant plusieurs jours, c'est autre chose. C'est très rare que je mange les plats tels que décrits sur le menu. Je fais toujours enlever un aliment ou alors j'en fais changer un pour un autre, ou bien j'en fais mettre un à côté et je juge. Ce n'est pas nouveau avec le régime : j'ai toujours fait ça.0
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paleolithique a écrit: »Ce n'est pas étonnant, il est difficile de perdre du poids au Canada, rien qu'avec la Poutine et ces portions qu'un sert
Tiens, voilà une adresse pour manger à Montréal la prochaine fois que tu y viens https://lelunchbox.ca/
Mais moi, je suis plus végé alors je préfère ici http://restovego.ca/
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paleolithique a écrit: »même quand l'on veut une salade les portions sont énormes et il y a une sauce grasse, etc...
je ne penses pas qu'on t'ingurgite de force les portions données.
comme tout le monde, tu peux arrêter de manger quand tu n'as plus faim.0
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