Mes motivations, ma vie, mon oeuvre.... ;-)
paleolithique
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J'ai aujourd'hui 63 ans, ça semble "vieux" mais dans un sens je me sens plus jeune qu'il y a 20 ans.
Je suis maman de 3 enfants (et quatre fois grand mère). Je mesure 175 cm et j'ai été mince durant toute ma jeunesse, pas vraiment "sportive" sauf un peu de natation, de la muscu....Cou-ci, cou-çà, beaucoup quand j'étais au chômage, arrêt sportif quand j'avais un travail.
Je me suis mise à grossir à partir de mes 38 ans.... Plus le temps de faire du sport. Chaque année 3-4 kg... Pour peser à l'âge de 43 ans 82 kg, soit un IMC de 26,8.
Pas énorme, vous allez dire ? Tout est relatif. J'avais un ventre énorme, on aurait dit 6ème mois de grossesse. Même qu'on me libérait la place dans le métro, c'est pour vous dire ! Mes bras ressemblaient à des jambons.... Je n'arrivais plus à lacer mes chaussures. S'habiller en 46, en France de l'époque, devenait difficile, vu ma grandeur.
J'ai commencé à faire des malaises, la nuit, je me réveillais en sueur, je tremblais, il fallait que j'avale des tonnes de sucre...
Je me suis remise à la muscu - après un arrêt de 8 ans - mais ça se passait mal, le sport n'a fait qu'augmenter mes malaises.
Après 1 semaine à l'hôpital endocrinologue, on m'avait dit que le diabète me guette, j'étais en syndrome métabolique et la résistance à l’insuline était bien installée. Le diabète de type 2 me guettait, surtout que j'ai une mauvaise génétique.
J'avais une peur bleue de finir comme ma mère : diabétique de type 2, insulino-dépendant, lourd, avec atteintes digestives, rénales, cardiaques... Tout ce que je ne voulais pas !!!
Ma vie a changé ce jour-là.
Je n'étais pas prête - pas encore - pour remettre en cause mon alimentation. J'ai voulu perdre du poids rien qu'avec le sport.
Je me suis mise à la muscu tous les jours, 5x/semaine, la marche le weekend.
Résultat après 8 mois ? 3-4 kg de perdus, pas grand chose... mais au moins mes malaises se sont atténuées et mon corps s'était raffermi. Je ressemblais en gros à une armoire à glace
Après un passage chez une pneumologue - ma capacité respiratoire laissait à désirer, j'en étais à 66% de le normale - et donc après avoir augmentée un peu cette dernière, j'ai commencé sérieusement à envisager de me mettre à la course à pied. J'avais 45 ans.
J'ai couru pour la 1ère fois en février 1997. Je soufflais comme une locomotive à vapeur, je devenais rouge-violet... mais j'ai couru d'emblée 4,2 km à une vitesse.... heum... de tortue !!! Les marcheurs étaient plus rapides que moi. Mais j'ai couru ! En ne m'arrêtant pour marcher pendant 1-2 minutes que 2x en tout !!!
J'ai commencé à courir, 2x/semaine, puis 3x etc... Pour passer, en 6 semaines, à 2 tours, soit 8,4 km. 1 heure pour réussir à les faire...
J'ai continué sur 5 mois. J'ai perdu encore 3-4 kg, soit 7 kg en tout. Pas grand chose vu les efforts, mais enfin j'ai pu apercevoir le bout du tunnel...
En automne, après 8 mois d'efforts conjugués, muscu, natation et course à pied.... Je me suis blessée. d'abord au genou, puis au tendon d'Achille.
Et c'était terminé : j'ai été très mal prise en charge par les "médecins de sport" en réalité des chirurgiens qui ne savaient pas vraiment ce que j'avais. Ils m'ont mise un strapping et m'ont conseillé de rester allongée jusqu'au la guérison complète.
Erreur monstrueuse !!!! Après avoir attendu 6 semaines, j'ai essayé de marcher... douleur atroce, impossible de faire 10 pas...
Une descente aux enfers. Aller chercher ma fille à l'école - 100 m - devenait un exploit... Je ne savais pas quoi faire...
Ca a duré 3 ans... 3 ans !!! J'ai cru que je serai handicapée à vie. Ce jour-là j'ai compris qu'il ne faut jamais faire confiance à un médecin qu'il faut savoir se prendre en charge... Des semelles orthopédiques, des dizaines de séances de kiné, amélioration, reprise, rechute...
J’ai enfin accepté de remettre en cause mon alimentation : Weigt Watchers (-14 kg), puis régime Seignalet (anti-inflammatoire).... un détour par Dukan (-9 kg), puis retour au Seignalet.
C'est le médecin de l'Olympique Lyonnais qui m'a sorti de l'affaire, en 2005, avec des "méthodes expéditives" (6 séances de kiné/semaine dont 3 sur machines iso-cinétiques). En 3 mois, c'était torché
En 2001, la maladie de Ménière (vertiges) que j'ai combattu activement avec de la danse : cours de salsa et du rock pendant 6 ans. Ca revient parfois. Tant pis, rien ne m'arrête.
En 2004, on m'avait diagnostiqué une maladie auto-immune systémique avec un pronostic éventuel assez sombre sur 5 ans. Pas vraiment de traitement possible, sauf à prendre des produits toxiques et devenir définitivement handicapée.
Ca je l'ai refusé. J'ai adapté ma manière de se nourrir au régime paléolithique et je me suis donnée une année pour voir.
Ca a marché ! Je refais le sport - avec des périodes d'arrêt pour "douleurs" - mais je varie les plaisirs : le stretching et les pilates, de la marche, beaucoup de natation. A un moment j'ai Un peu de muscu quand je peux.
Je kiffe ma manière de manger : en variant des légumes et des fruits, des nouvelles senteurs, j'ai découvert des couleurs et des parfums dont je n'ai pas pensé qu'ils existent.
La malbouffe, le pain, les pizzas les pâtes, les fromages, tout cela fait partie de "avant, maladie, douleur". C'est fade, salé et nuisible.
J'envisage bientôt de me remettre à la course à pied, au moins 2x/semaine. En été ça va bien mieux que pendant la période froide.
Je n'envisage aucune course, pas de marathon : pour moi, le sport doit rester un plaisir, je kiffe !!! Pas de montres connectés, pas de suppléments alimentaires. Une journée sans sport, c'est un peu comme "une journée sans pain" : longue et douloureuse, inachevée.
Cette année, je ferai pousser mes propres légumes, bio, non OGM, sans F1... mais ça c'est une autre histoire.
Je suis maman de 3 enfants (et quatre fois grand mère). Je mesure 175 cm et j'ai été mince durant toute ma jeunesse, pas vraiment "sportive" sauf un peu de natation, de la muscu....Cou-ci, cou-çà, beaucoup quand j'étais au chômage, arrêt sportif quand j'avais un travail.
Je me suis mise à grossir à partir de mes 38 ans.... Plus le temps de faire du sport. Chaque année 3-4 kg... Pour peser à l'âge de 43 ans 82 kg, soit un IMC de 26,8.
Pas énorme, vous allez dire ? Tout est relatif. J'avais un ventre énorme, on aurait dit 6ème mois de grossesse. Même qu'on me libérait la place dans le métro, c'est pour vous dire ! Mes bras ressemblaient à des jambons.... Je n'arrivais plus à lacer mes chaussures. S'habiller en 46, en France de l'époque, devenait difficile, vu ma grandeur.
J'ai commencé à faire des malaises, la nuit, je me réveillais en sueur, je tremblais, il fallait que j'avale des tonnes de sucre...
Je me suis remise à la muscu - après un arrêt de 8 ans - mais ça se passait mal, le sport n'a fait qu'augmenter mes malaises.
Après 1 semaine à l'hôpital endocrinologue, on m'avait dit que le diabète me guette, j'étais en syndrome métabolique et la résistance à l’insuline était bien installée. Le diabète de type 2 me guettait, surtout que j'ai une mauvaise génétique.
J'avais une peur bleue de finir comme ma mère : diabétique de type 2, insulino-dépendant, lourd, avec atteintes digestives, rénales, cardiaques... Tout ce que je ne voulais pas !!!
Ma vie a changé ce jour-là.
Je n'étais pas prête - pas encore - pour remettre en cause mon alimentation. J'ai voulu perdre du poids rien qu'avec le sport.
Je me suis mise à la muscu tous les jours, 5x/semaine, la marche le weekend.
Résultat après 8 mois ? 3-4 kg de perdus, pas grand chose... mais au moins mes malaises se sont atténuées et mon corps s'était raffermi. Je ressemblais en gros à une armoire à glace
Après un passage chez une pneumologue - ma capacité respiratoire laissait à désirer, j'en étais à 66% de le normale - et donc après avoir augmentée un peu cette dernière, j'ai commencé sérieusement à envisager de me mettre à la course à pied. J'avais 45 ans.
J'ai couru pour la 1ère fois en février 1997. Je soufflais comme une locomotive à vapeur, je devenais rouge-violet... mais j'ai couru d'emblée 4,2 km à une vitesse.... heum... de tortue !!! Les marcheurs étaient plus rapides que moi. Mais j'ai couru ! En ne m'arrêtant pour marcher pendant 1-2 minutes que 2x en tout !!!
J'ai commencé à courir, 2x/semaine, puis 3x etc... Pour passer, en 6 semaines, à 2 tours, soit 8,4 km. 1 heure pour réussir à les faire...
J'ai continué sur 5 mois. J'ai perdu encore 3-4 kg, soit 7 kg en tout. Pas grand chose vu les efforts, mais enfin j'ai pu apercevoir le bout du tunnel...
En automne, après 8 mois d'efforts conjugués, muscu, natation et course à pied.... Je me suis blessée. d'abord au genou, puis au tendon d'Achille.
Et c'était terminé : j'ai été très mal prise en charge par les "médecins de sport" en réalité des chirurgiens qui ne savaient pas vraiment ce que j'avais. Ils m'ont mise un strapping et m'ont conseillé de rester allongée jusqu'au la guérison complète.
Erreur monstrueuse !!!! Après avoir attendu 6 semaines, j'ai essayé de marcher... douleur atroce, impossible de faire 10 pas...
Une descente aux enfers. Aller chercher ma fille à l'école - 100 m - devenait un exploit... Je ne savais pas quoi faire...
Ca a duré 3 ans... 3 ans !!! J'ai cru que je serai handicapée à vie. Ce jour-là j'ai compris qu'il ne faut jamais faire confiance à un médecin qu'il faut savoir se prendre en charge... Des semelles orthopédiques, des dizaines de séances de kiné, amélioration, reprise, rechute...
J’ai enfin accepté de remettre en cause mon alimentation : Weigt Watchers (-14 kg), puis régime Seignalet (anti-inflammatoire).... un détour par Dukan (-9 kg), puis retour au Seignalet.
C'est le médecin de l'Olympique Lyonnais qui m'a sorti de l'affaire, en 2005, avec des "méthodes expéditives" (6 séances de kiné/semaine dont 3 sur machines iso-cinétiques). En 3 mois, c'était torché
En 2001, la maladie de Ménière (vertiges) que j'ai combattu activement avec de la danse : cours de salsa et du rock pendant 6 ans. Ca revient parfois. Tant pis, rien ne m'arrête.
En 2004, on m'avait diagnostiqué une maladie auto-immune systémique avec un pronostic éventuel assez sombre sur 5 ans. Pas vraiment de traitement possible, sauf à prendre des produits toxiques et devenir définitivement handicapée.
Ca je l'ai refusé. J'ai adapté ma manière de se nourrir au régime paléolithique et je me suis donnée une année pour voir.
Ca a marché ! Je refais le sport - avec des périodes d'arrêt pour "douleurs" - mais je varie les plaisirs : le stretching et les pilates, de la marche, beaucoup de natation. A un moment j'ai Un peu de muscu quand je peux.
Je kiffe ma manière de manger : en variant des légumes et des fruits, des nouvelles senteurs, j'ai découvert des couleurs et des parfums dont je n'ai pas pensé qu'ils existent.
La malbouffe, le pain, les pizzas les pâtes, les fromages, tout cela fait partie de "avant, maladie, douleur". C'est fade, salé et nuisible.
J'envisage bientôt de me remettre à la course à pied, au moins 2x/semaine. En été ça va bien mieux que pendant la période froide.
Je n'envisage aucune course, pas de marathon : pour moi, le sport doit rester un plaisir, je kiffe !!! Pas de montres connectés, pas de suppléments alimentaires. Une journée sans sport, c'est un peu comme "une journée sans pain" : longue et douloureuse, inachevée.
Cette année, je ferai pousser mes propres légumes, bio, non OGM, sans F1... mais ça c'est une autre histoire.
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Réponses
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Eh bien....
Ce n'est pas un parcours de tout repos ce que tu as vécu.
Heureusement pour toi que tu as su enfin mettre un frein a cet engrenage qui comme tu le dis allait t'emmener de rechutes en rechutes.
Ton esprit combatif et ta volonté sont assurément ta force et tu sais les utiliser a bon escient.
Encore bravo pour cette leçon de vie ou beaucoup d'entre nous y auraient perdu pieds. 0 -
Bravo pour ce parcours où je me retrouve un petit peu (vieillitude qui arrive, combat de plusieurs années contre le poids, hérédité de diabétiques, hyperinsulinisme, blessures)0
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jojowit17600 a écrit: »Eh bien....
Ton esprit combatif et ta volonté sont assurément ta force et tu sais les utiliser a bon escient.
Encore bravo pour cette leçon de vie ou beaucoup d'entre nous y auraient perdu pieds.
Justement l'instinct de survie, @jojowit17600 , ça ne t'es pas inconnue, il me semble ?
Je recherche de la difficulté, rien de tel pour me stimuler que quand l'on me dit : "ma pauvre dame, ce n'est plus pour vous, ça"
0 -
@CLAMOUNETTE je voudrais bien avoir ton âge, Allez, ne te laisse pas abattre, il y a sans doute mieux, mais il y a CERTAINEMENT pire 0
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paleolithique a écrit: »jojowit17600 a écrit: »Eh bien....
Ton esprit combatif et ta volonté sont assurément ta force et tu sais les utiliser a bon escient.
Encore bravo pour cette leçon de vie ou beaucoup d'entre nous y auraient perdu pieds.
Justement l'instinct de survie, @jojowit17600 , ça ne t'es pas inconnue, il me semble ?
Je recherche de la difficulté, rien de tel pour me stimuler que quand l'on me dit : "ma pauvre dame, ce n'est plus pour vous, ça"
Je ne serai dire pour l'instinct de survie.
Je n'ai pas eu a traverser d’épreuves aussi lourde avec mon corps.
Je n'ai jamais été (trop) malade, ni même une fracture ou un problème avec dans mes analyses (cholestérol, diabète, etc...).
J'ai 49 ans (encore) et mon bilan est seulement :
- Ablation de la vésicule biliaire (calculs)
- Luxation de l’épaule droite.
Je touche du bois
et m'estime heureux de ne pas avoir eu de soucis.
J'ai décidé de perdre du poids justement par principe de précaution.
Je veux vieillir "sainement".
0 -
@paleolithique : il y a environs un an il m'est sorti une grosseur à une jointure du petit doigt. Comme un petit pois rouge et qui faisait mal et démangeait. Au début j'ai cru à une piqûre d'insecte ou d'épine. Mais ça durait et ne guérissait pas. J'ai fini par consulter : un début de rhumatisme déformant..... j'ai alors regardé mon médecin d'un air surpris (mais enfin docteur je n'ai que 35 ans..... enfin dans ma tête) et là il m'a dit "c'est l'âge tu vieillis et c'est normal à 58 ans d'avoir ce genre de chose"..... lol.... c'est là que j'ai compris que j'avais 58 ans et non plus 35......0
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félicitation et j'espère puiser un peu de courage à travers ton parcours0
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Merci paléo pour ton témoignage
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CLAMOUNETTE a écrit: »@paleolithique : il y a environs un an il m'est sorti une grosseur à une jointure du petit doigt. Comme un petit pois rouge et qui faisait mal et démangeait. Au début j'ai cru à une piqûre d'insecte ou d'épine. Mais ça durait et ne guérissait pas. J'ai fini par consulter : un début de rhumatisme déformant..... j'ai alors regardé mon médecin d'un air surpris (mais enfin docteur je n'ai que 35 ans..... enfin dans ma tête) et là il m'a dit "c'est l'âge tu vieillis et c'est normal à 58 ans d'avoir ce genre de chose"..... lol.... c'est là que j'ai compris que j'avais 58 ans et non plus 35......
Je te comprends. C'est dur ça devrait pas exister de vieillir0 -
Mesdames, vous n'êtes pas encore assez âgées pour commencer à percevoir que l'expérience de la vie que cela confère pèse plus lourd que les maux corporels qui l'accompagnent, et qui vont et iront en se multipliant et en s'aggravant, jusqu'à ce que l'ensemble du corps déclare forfait. Personnellement, je n'accepterais jamais de revenir à mes 20 ou 30 ans si on me les offrait sur un plateau d'argent. Même si j'ai oublié depuis belle lurette comment c'était un corps qui n'a mal nulle part, et même si je suis passée d'une taille 42 dans les moments les plus glorieux à un paisible et indéboulonnable 50 !0
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jojowit17600 a écrit: »
Je ne serai dire pour l'instinct de survie.
Je n'ai pas eu a traverser d’épreuves aussi lourde avec mon corps.
Je n'ai jamais été (trop) malade, ni même une fracture ou un problème avec dans mes analyses (cholestérol, diabète, etc...).
J'ai 49 ans (encore) et mon bilan est seulement :
- Ablation de la vésicule biliaire (calculs)
- Luxation de l’épaule droite.
Je touche du bois et m'estime heureux de ne pas avoir eu de soucis.
J'ai décidé de perdre du poids justement par principe de précaution.
Je veux vieillir "sainement".
Ah mais moi non plus je n'ai plus du cholestérol ni du pré-diabète, tout cela a disparu avec le régime paléo et avec ma perte du poids de +20 kg. J'ai encore ma vésicule biliaire
Je vieillis sainement car le régime paléo empêche l'évolution de mon problème de santé... qui reste là, sous-jacent, mais comme engourdi.
@CLAMOUNETTE on peut avoir des "rhumatismes" très lourds à l'âge de 12 ou de 16 ans, tu sais ? La spondylarthrite rhumatoïde par exemple, c'est une maladie des 20-30 ans....De même que la SEP.
L'autre seuil pour nous les femmes c'est la ménopause, mon problème de santé est survenu à ce moment, justement.
@MamieTamar si si je sais de quoi tu veux parler - je n'ai pas tout dit, il y a eu bien pire - et je prendrai volontiers mes 30 ans. Il y a tant et tant des choses que j'aimerai vivre encore.
Mais on ne me "déboulonnerait plus de ma taille 40, si ce n'est vers la taille 38. J'aime trop bouger, que veux-tu ? 0 -
Qu'est-ce que tu peux être nerveuse ! Je te conseille le yoga comme prochain sport...0
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Je te trouve aussi toujours sur la défensive.
C'est dommage.
Tu devrais essayer la sophrologie ça aide à être serein.
Bien sûr qu'on peut tout avoir à tout âge. Et ces dernières années j'ai perdu des proches de mon âge à cause d'un vilain crabe qui leur a mangé le corps de l'intérieur.
Mais j'ai pour habitude de regarder le demi verre plein qui est devant moi et pas le demi verre vide qui est derrière.0 -
Bravo pour ce que tu as accompli jusque là!
Maintenant tu continues parce que tu n'as pas encore atteint le poids que tu veux ou pour préserver ton capital santé?0 -
MamieTamar a écrit: »Qu'est-ce que tu peux être nerveuse ! Je te conseille le yoga comme prochain sport...
Nerveuse, moi ? C'est tout le contraire
Je suis quelqu'un de vivant qui aime bouger. Faire de la sophro c'est bon pour les vieux (à mon avis), moi je prefère faire mon footing...
@Lindalay31 c'est surtout pour préserver mon capital de santé, j'ai déjà le poids qui me convient.
@CLAMOUNETTE moi aussi j'ai perdu des (très) proches à cause d'un crabe.... j'en ai pas parlé car cela me touche trop près.
Ce n'est pas la sophro qui aide dans ce cas. mais la nutrition paléo, par contre, si.0 -
paleolithique a écrit: »MamieTamar a écrit: »Qu'est-ce que tu peux être nerveuse ! Je te conseille le yoga comme prochain sport...
Nerveuse, moi ? C'est tout le contraire Je suis quelqu'un de vivant qui aime bouger. Faire de la sophro c'est bon pour les vieux (à mon avis), moi je prefère faire mon footing...
@Lindalay31 c'est surtout pour préserver mon capital de santé, j'ai déjà le poids qui me convient.
@CLAMOUNETTE moi aussi j'ai perdu des (très) proches à cause d'un crabe.... j'en ai pas parlé car cela me touche trop près.
Ce n'est pas la sophro qui aide dans ce cas. mais la nutrition paléo, par contre, si.
Je ne suis ni pour ni contre, chacun est libre de trouver l’équilibre et l'harmonie qui lui convient.
Pour moi, rien n'est mauvais du moment que l'on abuse pas....(ce n'est que mon avis perso)
Apres, c'est comme tout. Il y a eu des gros fumeurs centenaire et en pleine forme, comme des trentenaire qui fumaient 4-5 cigarettes par semaine et qui se sont fait "emportés" par un crabe.
Nous ne sommes pas tous égaux et il y a une grande part d’aléas qui a mon sens, échappe a toute logique scientifique.
A chacun de faire au mieux avec ce qu'il a.
Mais en aucun je ne jugerai des avis différent du mien.
Au mieux, je suis heureux d'avoir d'autre point de vu pour progresser et y trouver ma voie.0 -
@jojowit17600 tout à fait d'accord.... chacun fait comme il peut avec ses moyens et ses possibilités.
L'épanouissement personnel passe par des tas de chemins.
0 -
CLAMOUNETTE a écrit: »@jojowit17600 tout à fait d'accord.... chacun fait comme il peut avec ses moyens et ses possibilités.
L'épanouissement personnel passe par des tas de chemins.
Qu'il en soit ainsi... 0 -
paleolithique a écrit: »Je suis quelqu'un de vivant qui aime bouger. Faire de la sophro c'est bon pour les vieux (à mon avis), moi je prefère faire mon footing...
Ce n'est pas la sophro qui aide dans ce cas. mais la nutrition paléo, par contre, si.
C'est tout simplement une question de nature. A vingt ans, j'étais quelqu'un de vivant qui aimait bouger et méditer, méditer surtout. J'ai dû me prendre par la peau du dos pour m'habituer à bouger. Mais pour ce qui est d'être vivante, je l'étais, et je le suis toujours...
Quant aux grands malheurs de la vie, et qui n'en n'a pas connu à notre âge, je suis d'accord que la nutrition aide, et la prière méditative encore plus.
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@paleolithique : J'espère que tu trouves aussi le temps et le plaisir de danser la salsa et le rock ! C'est aussi une sacré activité physique et c'est tellement sympa !0
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@jojowit17600 je trouve que tu as une belle philosophie de la vie, merci...
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