Bapf. 25kg à perdre : flemme ! 😒 Pas le choix ! 👍🏻🏋🏻‍♂️

Hello Sarah et Calhambre !

Merci beaucoup pour vos messages. C’est très plaisant à lire. Dès que je les ai lus, j’ai commencé à ressentir un gain de volonté supplémentaire ! C’est l’avantage d’être un animal social.

Je vous ajoute toutes les deux à mes amis, et d’ailleurs, quiconque lit ceci peut en faire de même. Je serais ravi de faire un bout de chemin avec vous, et de pouvoir vous aider en retour.

Sarah, merci pour ton optimisme, nous en avons bien besoin ! En ce qui concerne mes objectifs, je peux dire qu’il s’agit surtout d’être en forme pour ma famille (ma femme, et plus tard mes enfants). L’angoisse de passer à côté d’une partie de ma vie, de mourir trop jeune pour avoir négligé ma santé trop longtemps, ce sont de puissants motivateurs.

Calhambre, merci pour tes conseils ! Je commence en effet à diminuer les rations, et j’engage une lutte sans merci contre la pulsion « boulimique » qui attire comme un aimant et mène une guerre quotidienne contre la volonté. C’est surtout ce dernier point, mon soucis, car sans celui-ci, je devrais aisément basculer dans le « déficit ».

Et pour l’activité physique, de mon côté c’est plutôt la boxe. Mais je vais me (re)mettre à la course !

Et vous, quels sont vos objectifs ? Et autre question importante : quels sont vos objectifs pour 2021 ?

2021 doit être l’année où les objectifs sont atteints

Hello WMMWD (joli nom) !

Merci beaucoup pour ta réponse, et félicitations à toi d’avoir pu dépasser tout cela ! Sincèrement, je suis ravi d’avoir lu ton expérience, et je conçois bien toute la difficulté que cela a dû représenter. Mais voici comment je raisonne : qu’est-ce qui est le plus difficile : Lutter au quotidien pour cheminer vers un mieux, quelle que soit la difficulté, ou bien lutter au quotidien en cheminant vers un “pire”, ayant en prime la triste contemplation de la dégénérescence d’un corps maltraité, qui porte avant tout les stigmates d’une souffrance de l’esprit ?

Bien que j’aie repris vingt fois le poids que j’avais perdu, je connais désormais toutes les faiblesses de mon esprit, mais aussi ses forces. J’en suis arrivé à un point où je sais, absolument sans aucun doute, que cette fois-ci c’est la dernière. L’expérience nous apprend beaucoup, il faut simplement apprendre à se connaître. Je crois que, si l’on veut voir la chose sous un angle optimiste, on peut considérer le surpoids, «l’obésité », comme une occasion d’explorer les mécanismes de notre esprit, de se familiariser avec soi-même, et de prendre un peu de recul sur ce qui crée l’obsession, la pulsion, le déséquilibre. Cela peut aussi signifier : vaincre ce qui dans notre esprit est à l’origine de ce déséquilibre. Je crois que nous avons tous la force de le faire, et qu’il s’agit de trouver la bonne clé pour cette serrure mentale. Le recul sur soi, l’analyse détachée de nos modes de fonctionnement, ou parfois déclarer qu’un ou des événement(s) passés, généralement traumatiques, sont « passés » et que leur place n’est plus ici, en nous, mais aux oubliettes. Voilà qui, je pense, fait pencher la balance dans le bon sens.

Et ensuite, lorsqu’on est prêt, les choses se mettent en place naturellement pour durer : nourriture saine, corps en mouvement, esprit fier et combattif, estime de soi revigorée ; l’un entraînant l’autre.

Je te remercie en tout cas pour tes encouragements, qui me sont fort précieux en ce moment ! Je suis curieux : quel sport pratiques-tu en compétition ?