La meilleure tactique ?
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Moi aussi qui voyage beaucoup, je ne suis pas bloqué avec le menu.
Je me sers souvent au buffet et du coup je ne souffre pas trop des sauces dans la salade vu que je n'en mets pas.0 -
J'habite de la Canada...Montréal, et il a plusieurs très bon resto dont Aux vivres que j'aime particuli;erement, mais il y plusieurs qui sont VEGAN, et des poissoneries et des retaurants très fins ...là je trouve que c'est un méchant raccourci...bon je respire un bon coup...0
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Les stéréotype ont malheureusement la vie dure. Les prosélytes s'en servent généralement pour marquer les esprits et tenter de justifier leur attitude extrême par un contre-exemple tout aussi extrême (et dans ce cas tout à fait inexact).0
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MamieTamar a écrit: »Qu'est-ce qui vous paraît la démarche la plus efficace :
1) Fixer un taux de calories relativement haut et s'y tenir sans rien ajouter pour l'exercice, ou
2) Fixer un taux de calories relativement plus bas mais utiliser les calories gagnées par l'exercice ?
Les deux ont des avantages et des inconvénients, quelle est votre expérience ?
Suivant la démarche de Desmurget, la 1 pour moi. Mais si je dépasse vraiment trop mes 2400 Cal journalières, je force un peu plus sur l'exercice... Comme j'ai appris à apprécier le plaisir de la marche, je joins ainsi l'utile à l'agréable.
Sinon, pour la différence hommes-femmes sur la difficulté à perdre, je conçois parfaitement que les hormones (et particulièrement le cycle) puissent beaucoup jouer. Mais je crois aussi que se rajoute le fait qu'une femme, sous l'injonction sociale permanente d'être mince, jeune et belle, va "se surveiller" plus qu'un homme, en moyenne... Et donc plus risquer de se fourvoyer dans des approches hypocaloriques fréquentes voire constantes
- comme déjà dit plus haut, ça va amener son métabolisme à se dérègler et majorer ses difficultés à perdre.
Devant ces difficultés, on ne s'étonnera pas que certains individus s'investissent dans des dérives alimentaires qui, parfois, occultent leur bon sens (dénégation de toutes positions hormis la leur, croyance presque religieuse dans les bienfaits / méfaits de classes complètes d'aliments, prosélytisme revendicatif du type "si tu ne fais pas comme moi, tu ne peux que te planter !").
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Merci DidierDozer...
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Merci de donner enfin une vraie réponse à ma question !Popeye2new a écrit: »Suivant la démarche de Desmurget, la 1 pour moi. Mais si je dépasse vraiment trop mes 2400 Cal journalières, je force un peu plus sur l'exercice... Comme j'ai appris à apprécier le plaisir de la marche, je joins ainsi l'utile à l'agréable.
Sinon, pour la différence hommes-femmes sur la difficulté à perdre, je conçois parfaitement que les hormones (et particulièrement le cycle) puissent beaucoup jouer. Mais je crois aussi que se rajoute le fait qu'une femme, sous l'injonction sociale permanente d'être mince, jeune et belle, va "se surveiller" plus qu'un homme, en moyenne... Et donc plus risquer de se fourvoyer dans des approches hypocaloriques fréquentes voire constantes - comme déjà dit plus haut, ça va amener son métabolisme à se dérègler et majorer ses difficultés à perdre.
Devant ces difficultés, on ne s'étonnera pas que certains individus s'investissent dans des dérives alimentaires qui, parfois, occultent leur bon sens (dénégation de toutes positions hormis la leur, croyance presque religieuse dans les bienfaits / méfaits de classes complètes d'aliments, prosélytisme revendicatif du type "si tu ne fais pas comme moi, tu ne peux que te planter !").
En ce qui concerne les femmes, tu as raison qu'elles stressent plus avec les dérèglements qui s'ensuivent, mais il est exact aussi qu'elles sont plus programmées génétiquement pour garder leur précieuse graisse, qu'il y en a moins en pourcentage qui arrivent à de bons résultats, et que pour celles qui y arrivent, le chemin est beaucoup plus long et/ou difficile que pour un homme. Desmurget ne parle pas de ce point, mais il cite au passage certaines études (en voulant prouver autre chose) qui en font état, et il n'est pas difficile d'en trouver, c'est une constatation bien facile à faire, ne fût-ce qu'ici même, ainsi que dans le vaste monde. ça va avec l'avantage d'avoir été choisie pour porter l'enfant et le mettre au monde, on n'a rien sans rien !
Quant à l'orthorexie, c'est une maladie comme une autre, mais on ne peut pas soigner quelqu'un malgré lui.
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Tu parles de bons résultats, je me demande justement si ce que nous estimons de bons résultats, moi la première, c'est ce que dame nature a dans la tête pour nous ... à tous essayer de marcher avec des chaussures qui sont pas à nous, normal que beaucoup d'entre nous chopent des ampoules0
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Tu veux dire qu'il serait peut-être plus sain de nous contenter d'un léger surpoids si nous mangeons correctement que de nous échiner à atteindre un poids dit "normal", sans que qui que ce soit sache en quoi il est normal au juste et qui a décrété qu'il l'était ? Oui, c'est une question que je me pose souvent.0
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exactement ... mais j'ai jamais dit que c'était facile à accepter par contre ^^0
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Tu connais le site du G.R.O.S. et les livres de Zermati et Apfeldorfer ? Tout tourne autour de ça.0
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je viens d'aller voir le site, intéressant comme mouvement de professionnels!
mais par contre pour les livres, je ne lis rien de ce genre0
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