Semi marathon
Réponses
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@Madikera Merci! Tu n'avais pas mal aux jambes en courant moint vite qu'en marchant? J'ai l'impression que courir très lentement, ça "amplifie" les chocs. Mes tendons d'achille n'aimait pas du tout! Pas plus que mes mollet et mes cuisses d'ailleurs...
Peut-être aussi que je n'ai pas la bonne "foulée" quand je vais lentement.
Ah si courir était resté naturel ...
Tu as la réponse
Courir naturellement et lentement meme trotinner te fera plus progresser que d allez vite et te degouter
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Bonjour, je suis nouveau sur le forum, le 28 mai, je fais le semi de Manchester, c'est pas mon premier,mais cette année, j'ai pris un peu de recul avec la cap, mon dernier chrono sur cette course était 1h25, j'aimerais échanger avec vous, en espérant vous lire prochainement.2
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Bonjour à tous !
Oubliez les pantalons taille 36 et les espaces entre les cuisses. J'ai trouvé un aspect bien plus cool à la perte de poids!!!
Je ne vous ai pas donné de nouvelles et ai peu suivi vos magnifiques progrès depuis quelques semaines parce que j'ai poursuivi cette belle aventure sportive pour m'entraîner pour le marathon.
Et devinez quoi? Moi qui avais mal en me levant le matin et qui peinais à trouver des habits à ma taille, moi qui me suis mise à marcher 20 Minutes par jour et qui ai aimé ça, moi qui ai rêvé d'être capable de courir 10 km, je suis maintenant marathonienne!
Et devinez quoi??? J'y ai pris du plaisir, un plaisir extraordinaire ( sauf peut-être entre les 32 ème et 40ème km où j'avais l'impression d'être dans une invasion zombie et que tous mes muscles me faisaient des doigts d'honneur) .
Bien -sûr, j'ai mis des mois à le préparer. En fait, j'avais déjà commencé avant de réaliser que j'étais déjà en train de préparer un marathon. Bien-sûr il y a eu des moments difficiles ( parfois, on fait tellement de km que l'on s'épuise et il faut savoir lever le pied).
Il y a eu toutes ces paires de baskets usées.
Tous ces week-ends à courir, pour moi ou en m'inscrivant à des courses populaires pour varier les plaisirs.
Ma famille et mes amis à qui je ne parlais que de course à pied.
L'organisation de mes loisirs autour des entraînements.
Le froid. La pluie. Le vent. La chaleur.
Le sport qui servait à ne pas se blesser en faisant du sport.
Les jours où c'est dur, où l'on n'avance pas.
Les gels dégueu (pas moyen d'avaler quoi que ce soit de solide après 20 km).
Les douleurs aux muscles. Ennuyer ses collègues en leur parlant des douleurs aux muscles.
La peur avant les courses.
Mais il y a surtout eu:
Tous ces gens merveilleux que j'ai rencontrés en courant.
Les encouragements de ma famille, de mes amis et collègues.
La bonne ambiance des courses populaires.
Les petits signes de connivence quand on croise un autre coureur.
La pluie. Le vent. Le soleil. Sentir changer les saisons.
Être dehors.
De voir progresser.
Les jours où l'on se sent voler.
Avoir appris à courir sur d'autres terrains.
Toutes ces belles paires de baskets.
Une collection de T shirts et médailles. Mon plus beau T-shirt, avec un dessin de ma nièce sur le dos, fait exprès pour moi.
Le voyage intérieur des sorties le longues.
La stimulante peur avant les courses.
La douche après les courses.
Une visite particulièreme d'Edimbourg
Le marathon n'était que le résultat de tout ça. Et c'était extraordinaire.
Attendre dans la foule terrifiée.
Partir dans la retenue et l'euphorie. Les 10 premiers km, j'avais l'impression que nous défilions lentement dans les rues, comme des gladiateurs avant le combat.
En fait, nous n'allions pas si lentement, mais aucun petit malin ne s'amusait à sprinter.
Les encouragements adorables du public.
Les enfants en habit du dimanche qui nous donnent des bonbons.
L'estuaire et la lumière du Nord.
Les coureurs déguisés.
18 ème km. Stupide pause pipi. Je n'aurais pas dû boire tous ces cafés avant. Et le chemin est encore long. À mon niveau, 2 minutes sur un marathon, c'est rien.
Presque jusqu'au semi, j'étais dans la découverte de mon environnement, faisais attention de ne pas me fatiguer, de ne pas chauffer (je m'aspergeais d'eau). J'avais entendu que c'était à la moitié que débutais vraiment le marathon. Alors j'attendais la moitié en profitant de l'ambiance.
On m'avait aussi dit de bien doser mon effort jusqu'au 30 ème. C'est ce que j'ai fait. Jusqu'au 30 ème, je comptais les km de 5 en 5, de ravitaillement en ravitaillement, faisais attention à rester confortableme et observais mon environnement, contente d'être partie assez loin pour avoir des choses à découvrir.
Tout le long de la course, j'étais dans la foule. Les 6100 et quelques marathoniens se mêlaient au marathon relais, ce qui gonflait le flot de coureurs.
Le paysage variait, ce qui était aussi très agréable : quartier des monuments, centre ville, parcs, bord re mer, petites villes de bord de mer , parc d'un château. Quand nous sommes arrivés en rase campagne, j'ai réalisé à quel point nous étions loin.
C'était au 30 ème km. Et c'est là que les choses sérieuses ont commencé .
Sauf que non. Il n'y a pas de mur pile au 30 ème. Je n'étais pas vraiment plus fraîche au 28 ème qu'au 32 ème! Mais à 30 km, je me suis dit que je n'étais jamais allée aussi loin. Et j'ai pensé aux conseils que j'avais reçus:
"Donne tout à partir du 30 ème "
"C'est ton rêve, vas-y à fond"
Et j'y allais à fond. Comme je pouvais. Parce que je ne me sentais ni épuisée ni essoufflée mais mes muscles ne suivaient pas. Mes jambes étaient dures comme du béton et je n'arrivais plus à les bouger comme je voulais. J'avais mal et je me suis mise à jurer à haute voix. Je courrais, je courrais encore, mais c'était comme dsns un de ces rêves où l'on essaie de courir mais où les jambes ne bougent pas. J'ai réussi à accélérer le rythme en me concentrant sur le mouvement.
Petit moment de récréation en plaisantant avec les autres coureurs. Puis on se perd de vue dans le flot qui se fait de plus en plus lent.
Vers le 35 ème km, j'ai traversé un champ de zombies. J'étais la seule à courir. Une gentille dame nous disait qu'on se débrouillait très bien. J'étais très reconnaissante à tout le public de ne pas dire qu'on était bientôt arrivés...
Je compte les tiers de km. Je loupe le dernier ravitaillement, n'ayant plus la force de décélérer et accélérer.
40 ème km. Je suis vraiment en train de finir ce marathon. Et en moins des 5 h que je ne voulais pas dépasser. Et j'ai mal, mes jambes ne m'obéissent plus. Mais je cours toujours.
41 ème km. Le tour de gloire. On entend les haut parleurs de l'arrivée. Il y a des barrières au bord de la piste. Ça y est. C'est le moment de sourire pour avoir l'air digne.
42 km: m'en fous de l'air digne, je suis si heureuse!!!!!!!!!!!
Sprint...
Ligne d'arrivée!!!
La suite est assez floue: euphorie, douleur, champ de coureurs zombies, rire de sa démarche ridicule, retrouver son ami, son bus, une place sur une terrasse..
Et se dire qu'on veut recommencer!!!!
Merci à tous d'avoir partagé ce chemin avec moi.
Valestrie, Josée, Jojo, Madikera, RunningChoucroute, claleal pour le conseil d'utiliser le plan asics, Lennui pour ses encouragements à mes tout débuts, Gentille, Amourdelavie, Aby, Catouille, Cecemoi, Cdlux, Milkamelia , Marju, Marie, Nathalie qui explose le compteur, Zokuaku qui est future marathonienne, Sandrine, Sylvie et j'en passe... vous êtes super!!!!2 -
J'ai eu de la peine à poster le récit qui suit. Le voilà donc en trois posts, long comme un marathon!!!
Temps: 4 h 46 sur 5 h de prévues. Je suis à 2/3 du classement général. Arrivée dans la foule, ce qui était vraiment sympa!!!0 -
Le paysage variait, ce qui était aussi très agréable : quartier des monuments, centre ville, parcs, bord re mer, petites villes de bord de mer , parc d'un château. Quand nous sommes arrivés en rase campagne, j'ai réalisé à quel point nous étions loin.
C'était au 30 ème km. Et c'est là que les choses sérieuses ont commencé .
Sauf que non. Il n'y a pas de mur pile au 30 ème. Je n'étais pas vraiment plus fraîche au 28 ème qu'au 32 ème! Mais à 30 km, je me suis dit que je n'étais jamais allée aussi loin. Et j'ai pensé aux conseils que j'avais reçus:
"Donne tout à partir du 30 ème "
"C'est ton rêve, vas-y à fond"
Et j'y allais à fond. Comme je pouvais. Parce que je ne me sentais ni épuisée ni essoufflée mais mes muscles ne suivaient pas. Mes jambes étaient dures comme du béton et je n'arrivais plus à les bouger comme je voulais. J'avais mal et je me suis mise à jurer à haute voix. Je courrais, je courrais encore, mais c'était comme dsns un de ces rêves où l'on essaie de courir mais où les jambes ne bougent pas. J'ai réussi à accélérer le rythme en me concentrant sur le mouvement.
Petit moment de récréation en plaisantant avec les autres coureurs. Puis on se perd de vue dans le flot qui se fait de plus en plus lent.
Vers le 35 ème km, j'ai traversé un champ de zombies. J'étais la seule à courir. Une gentille dame nous disait qu'on se débrouillait très bien. J'étais très reconnaissante à tout le public de ne pas dire qu'on était bientôt arrivés...
Je compte les tiers de km. Je loupe le dernier ravitaillement, n'ayant plus la force de décélérer et accélérer.
40 ème km. Je suis vraiment en train de finir ce marathon. Et en moins des 5 h que je ne voulais pas dépasser. Et j'ai mal, mes jambes ne m'obéissent plus. Mais je cours toujours.
41 ème km. Le tour de gloire. On entend les haut parleurs de l'arrivée. Il y a des barrières au bord de la piste. Ça y est. C'est le moment de sourire pour avoir l'air digne.
42 km: m'en fous de l'air digne, je suis si heureuse!!!!!!!!!!!
Sprint...
Ligne d'arrivée!!!
La suite est assez floue: euphorie, douleur, champ de coureurs zombies, rire de sa démarche ridicule, retrouver son ami, son bus, une place sur une terrasse..
Et se dire qu'on veut recommencer!!!!
Merci à tous d'avoir partagé ce chemin avec moi.
Valestrie, Josée, Jojo, Madikera, RunningChoucroute, claleal pour le conseil d'utiliser le plan asics, Lennui pour ses encouragements à mes tout débuts, Gentille, Amourdelavie, Catouille, Cecemoi, Cdlux, Milkamelia , Marju, Aby, Marie, Nathalie qui explose le compteur, Zokuaku qui est future marathonienne, Sandrine, Sylvie et j'en passe... vous êtes super!!!!0 -
Bonjour à tous !
Oubliez les pantalons taille 36 et les espaces entre les cuisses. J'ai trouvé un aspect bien plus cool à la perte de poids!!!
Je ne vous ai pas donné de nouvelles et ai peu suivi vos magnifiques progrès depuis quelques semaines parce que j'ai poursuivi cette belle aventure sportive pour m'entraîner pour le marathon.
Et devinez quoi? Moi qui avais mal en me levant le matin et qui peinais à trouver des habits à ma taille, moi qui me suis mise à marcher 20 Minutes par jour et qui ai aimé ça, moi qui ai rêvé d'être capable de courir 10 km, je suis maintenant marathonienne!
Et devinez quoi??? J'y ai pris du plaisir, un plaisir extraordinaire ( sauf peut-être entre les 32 ème et 40ème km où j'avais l'impression d'être dans une invasion zombie et que tous mes muscles me faisaient des doigts d'honneur) .
Bien -sûr, j'ai mis des mois à le préparer. En fait, j'avais déjà commencé avant de réaliser que j'étais déjà en train de préparer un marathon. Bien-sûr il y a eu des moments difficiles ( parfois, on fait tellement de km que l'on s'épuise et il faut savoir lever le pied).
Il y a eu toutes ces paires de baskets usées.
Tous ces week-ends à courir, pour moi ou en m'inscrivant à des courses populaires pour varier les plaisirs.
Ma famille et mes amis à qui je ne parlais que de course à pied.
L'organisation de mes loisirs autour des entraînements.
Le froid. La pluie. Le vent. La chaleur.
Le sport qui servait à ne pas se blesser en faisant du sport.
Les jours où c'est dur, où l'on n'avance pas.
Les gels dégueu (pas moyen d'avaler quoi que ce soit de solide après 20 km).
Les douleurs aux muscles. Ennuyer ses collègues en leur parlant des douleurs aux muscles.
La peur avant les courses.
Mais il y a surtout eu:
Tous ces gens merveilleux que j'ai rencontrés en courant.
Les encouragements de ma famille, de mes amis et collègues.
La bonne ambiance des courses populaires.
Les petits signes de connivence quand on croise un autre coureur.
La pluie. Le vent. Le soleil. Sentir changer les saisons.
Être dehors.
De voir progresser.
Les jours où l'on se sent voler.
Avoir appris à courir sur d'autres terrains.
Toutes ces belles paires de baskets.
Une collection de T shirts et médailles. Mon plus beau T-shirt, avec un dessin de ma nièce sur le dos, fait exprès pour moi.
Le voyage intérieur des sorties le longues.
La stimulante peur avant les courses.
La douche après les courses.
Une visite particulièreme d'Edimbourg
Le marathon n'était que le résultat de tout ça. Et c'était extraordinaire.
Attendre dans la foule terrifiée.
Partir dans la retenue et l'euphorie. Les 10 premiers km, j'avais l'impression que nous défilions lentement dans les rues, comme des gladiateurs avant le combat.
En fait, nous n'allions pas si lentement, mais aucun petit malin ne s'amusait à sprinter.
Les encouragements adorables du public.
Les enfants en habit du dimanche qui nous donnent des bonbons.
L'estuaire et la lumière du Nord.
Les coureurs déguisés.
18 ème km. Stupide pause pipi. Je n'aurais pas dû boire tous ces cafés avant. Et le chemin est encore long. À mon niveau, 2 minutes sur un marathon, c'est rien.
Presque jusqu'au semi, j'étais dans la découverte de mon environnement, faisais attention de ne pas me fatiguer, de ne pas chauffer (je m'aspergeais d'eau). J'avais entendu que c'était à la moitié que débutais vraiment le marathon. Alors j'attendais la moitié en profitant de l'ambiance.
On m'avait aussi dit de bien doser mon effort jusqu'au 30 ème. C'est ce que j'ai fait. Jusqu'au 30 ème, je comptais les km de 5 en 5, de ravitaillement en ravitaillement, faisais attention à rester confortableme et observais mon environnement, contente d'être partie assez loin pour avoir des choses à découvrir.
Tout le long de la course, j'étais dans la foule. Les 6100 et quelques marathoniens se mêlaient au marathon relais, ce qui gonflait le flot de coureurs.
Le paysage variait, ce qui était aussi très agréable : quartier des monuments, centre ville, parcs, bord re mer, petites villes de bord de mer , parc d'un château. Quand nous sommes arrivés en rase campagne, j'ai réalisé à quel point nous étions loin.
C'était au 30 ème km. Et c'est là que les choses sérieuses ont commencé .
Sauf que non. Il n'y a pas de mur pile au 30 ème. Je n'étais pas vraiment plus fraîche au 28 ème qu'au 32 ème! Mais à 30 km, je me suis dit que je n'étais jamais allée aussi loin. Et j'ai pensé aux conseils que j'avais reçus:
"Donne tout à partir du 30 ème "
"C'est ton rêve, vas-y à fond"
Et j'y allais à fond. Comme je pouvais. Parce que je ne me sentais ni épuisée ni essoufflée mais mes muscles ne suivaient pas. Mes jambes étaient dures comme du béton et je n'arrivais plus à les bouger comme je voulais. J'avais mal et je me suis mise à jurer à haute voix. Je courrais, je courrais encore, mais c'était comme dsns un de ces rêves où l'on essaie de courir mais où les jambes ne bougent pas. J'ai réussi à accélérer le rythme en me concentrant sur le mouvement.
Petit moment de récréation en plaisantant avec les autres coureurs. Puis on se perd de vue dans le flot qui se fait de plus en plus lent.
Vers le 35 ème km, j'ai traversé un champ de zombies. J'étais la seule à courir. Une gentille dame nous disait qu'on se débrouillait très bien. J'étais très reconnaissante à tout le public de ne pas dire qu'on était bientôt arrivés...
Je compte les tiers de km. Je loupe le dernier ravitaillement, n'ayant plus la force de décélérer et accélérer.
40 ème km. Je suis vraiment en train de finir ce marathon. Et en moins des 5 h que je ne voulais pas dépasser. Et j'ai mal, mes jambes ne m'obéissent plus. Mais je cours toujours.
41 ème km. Le tour de gloire. On entend les haut parleurs de l'arrivée. Il y a des barrières au bord de la piste. Ça y est. C'est le moment de sourire pour avoir l'air digne.
42 km: m'en fous de l'air digne, je suis si heureuse!!!!!!!!!!!
Sprint...
Ligne d'arrivée!!!
La suite est assez floue: euphorie, douleur, champ de coureurs zombies, rire de sa démarche ridicule, retrouver son ami, son bus, une place sur une terrasse..
Et se dire qu'on veut recommencer!!!!
Merci à tous d'avoir partagé ce chemin avec moi.
Valestrie, Josée, Jojo, Madikera, RunningChoucroute, claleal pour le conseil d'utiliser le plan asics, Lennui pour ses encouragements à mes tout débuts, Gentille, Amourdelavie, Catouille, Cecemoi, Cdlux, Milkamelia , Aby, Marju, Marie, Nathalie qui explose le compteur, Zokuaku qui est future marathonienne, Sandrine, Sylvie et j'en passe... vous êtes super!!!!1 -
Moi je suis à 11km en 55 min en ce moment2
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Fichtre...
Dire que je t'ai vu "naître"...
Tu as un "putain" de mental, c'est sur.
Tu viens de faire 1km pour chaque kilo que tu as perdu, c'est juste incroyable en si peu de temps.
J'espère pouvoir te rejoindre un jour sur ce podium.
Mais pour cela, il faudra que je sois un peu plus sérieux....
Encore bravo, aurais-tu osé rêver de cela il y a seulement 1 ou 2 ans en arrière.2 -
@solexine72
Bravo une belle performance !!
Pour l'instant je suis dans le semi en sol dur et quelques distances type 25/26 km max en trail (les côtes et les pentes çà mouche !)
Je dois dire que la partie trail m’intéresse bien...
Cependant un marathon me dit bien aussi .. à voir si mon genou est d'accord avec çà (pas sûr!).
Encore bravo2 -
@solexine72 c'est merveilleux ce parcours ou tu nous transporte à travers tes mots, quel accomplissement et quelle fierté tu dois ressentir. Marathon un doux rêve... Bon ben les amis il ne reste Plus qu'à nous bouger le fessier et marcher sur les pas de notre gazelle. Bizz1
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Bonjour à tous,
Bon ben bientôt la reprise avec toutes les bonnes résolutions qui vont avec...
Je souhaiterais dans un premier temps, commencer sérieusement mon renforcement musculaire, puis vraiment faire des sorties longues progressivement.
J'essaie d'affiner mon plan d'entrainement pour vous en faire part et que vous me disiez les modifications à apporter ou à compléter.
Il me reste une 10zaine de kilos à perdre, mais je pense qu'ils partiront tout seul avec le plan que je me concocte.
Et vous quels projets pour la rentrée...1 -
Bonjour à tous,
Bon ben bientôt la reprise avec toutes les bonnes résolutions qui vont avec...
Je souhaiterais dans un premier temps, commencer sérieusement mon renforcement musculaire, puis vraiment faire des sorties longues progressivement.
J'essaie d'affiner mon plan d'entrainement pour vous en faire part et que vous me disiez les modifications à apporter ou à compléter.
Il me reste une 10zaine de kilos à perdre, mais je pense qu'ils partiront tout seul avec le plan que je me concocte.
Et vous quels projets pour la rentrée...
Bravo @Madikera , tu ne lâches rien....
Tiens nous au courant de tes avancées.1 -
Bon le programme est finalisé, le voici:
- Lundi footing court EF
- Mardi recup (option du jeudi)
- Mercredi recup (elliptique/renforcement haut)
-Jeudi course tempo, fartlek, fractionné ou cote
- Vendredi recup (elliptique/renforcement bas)
- Samedi sortie longue EF
- Dimanche recup (elliptique)
Programme 4 semaines entraînements + 1 semaine recup en footing EF
Augmentation des valeurs de 10% par cycle.
J'attends vos avis avisés positifs ou négatifs
Merci par avance2
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